MAYBE IN THIS LIFE

MENOTTES

Alice

Nous dans ma chambre, j'étais sur mon bureau, Meï et Issa sur mon lit, Adrien et Jamal sur le canapé et Tom sur le mur refusant de s'assoir. Personnes osaient prendre la parole, tout le monde se regardaient dans le blanc des yeux. Je pensais à mon kidnapping, la mort de mon frère, j'aurais pu être tué moi aussi si les sous-fifres de mon grand-père avaient parler de mon existence. Mais ça aurait pu être moi.

Issa: Elle est belle ta chambre, ont à l'impression d'être dans la mer.

-Merci, j'aime les poissons.

Jamal: J'en ai marre de cette pression. Ont vas tous jouer carte sur table. Je commence, Alice j'ai eut l'impression que tu volait mon père, mais j'accepte maintenant.

-Un peu personnel mais pas grave.

Jamal: C'est à ton tour maintenant.

-Ah, pour être honnête j'aurais jamais voulu qu'on soit demi-frère Tom.

Tom: Moi non plus.

Meï: Pas moi. T'as toujours dit qu'on était sœur de cœur et maintenant que c'est aussi de sang tu change de parole.

Le problème c'était son frère qui était en train de faire foirer notre groupe de potes.

-C'est pas toi le problème c'est ton frère.

Meï: Quoi ?

-Et comme c'est ton jumeau tu vas pas prendre mon parti !

Tom: C'est la faute de ce connard.

-Arrête, t'es mon frère et c'est ton meilleur ami alors arrête de jouer au con au risque de nous perdre.

Tom se redressa et arrêta de se tenir au mur.

Tom: Tu comprend pas que je t'aimais avant de savoir qu'ont étaient frère et sœur et que se bouffon le savait et en à profiter et il à avouer ses sentiment.

 Pour être honnête je savais pas qu'il m'aimait et mon choix aurait été le même si ont aurait pas été frère.

-Tom, désoler mais tu restera mon ami et arrêtez de vous embrouillez pour moi. Faites la paix.

Tom et Adrien me répondu pas donc je me dirigea vers Adrien avant de lui prendre la main et celle de Tom pour leur faire faire la paix.

Jamal: Là c'est Rin, Obito et...

Meï. Tu saoul avec tes blagues de Naruto toi.

-Faites la paix.

Adrien: T'as dit à tout le monde que j'était un batard.

Tom: désoler. Mais c'est tous des cons.

Adrien: T'as de la chance qu'on soit amis depuis longue dates.

SALE GARCE !

C'était quoi ces cris, nous nous regardions tout les six dans le blanc des yeux avant de comprendre que les insultes et couverts qui tombaient venait de nos parents en bas. Nous courons tous dans les escaliers avant d'être dans le salon et de voir ma mère sur celle de Tom en train de se prendre des claques, il y avaient du sang sur leur figures et personnes n'intervenaient.

Tom: Vous faites rien !

Tony:  T'as envie de perdre un œil comme ta tante ?

C'est vrai que personnes n'avaient envie de s'interposer vu l'état de Célia.

Caleb: Ca va bébé ?

Célia: PUTAIN !

Leurs baston n'avait rien à voir avec les baston de fillettes. La mère de Tom prenait le dessus.

-Défonce la maman !

Jamal: Oui maman !

La violence c'était mal, mais la mère de Tom méritait tous ces coups, suites aux encouragement de ses enfants ma mère repris le dessus. 

Tom: Maman te laisse pas faire !

Talia: T'inquiète pas mon bébé. Dit Talia en se débattant.

Mon père ouvrit la porte d'entrer pour éviter de déchirer et casser  les autres œuvres qui ont couté très cher. Elles étaient sortis de la maison, le voisinage commençaient à se manifestait 

Mère: Sale connasse !

Talia: Sale pétasse !

-Pourquoi elles se battent d'ailleurs ? 

Tony: Parce que ton père de cœur c'est...

Père: Tony la ferme ! 

Qu'est ce qu'il avait fait ?

La bataille continuait, crépage de chignon, claques, ma mère lui avait fait quelques prises dont elle m'avait parler quand elle était avec Tony. La bataille continuait pendant encore dix minutes quand des sirènes s'approcha. Il devaient être une heure du matin, Talia et ma mère étaient couvertes de boues à cause de la pluie qui était passer. L

Tony: Putain y'a les flics. Il dit les bras croisée dans le plus grand des calme.

Les policiers courut vers ma mère et Talia pour les arrêtez, 

Tony: Caleb, Célia ramenez les gosses chez eux. Il dit en parlant de ses enfants, Adrien et Jamal.

-Bah au revoir.

Ils me saluent et partit avec Célia et Caleb. Mon père et Tony courut vers les policiers et monta dans les voitures des policier avec leurs femmes menottés.