HASARD

399 18 2
                                    

                                           Tom

Une semaine s'était passé, le vent soufflait fort et j'étais chez Alice, elle voulait me voir pour parlé de notre enquête,

-Hein ?! Je dis abasourdi.

J'étais sur le lit d'Alice quant à Alice et Jamal  eux deux étaient debout en face de moi avec une grande affiche qui contenait des photos, associations et plein d'autres choses.

Jamal: Réfléchissez, tout se colle, Ma mère et ton père qui se dispute comme me l'as dit Alice, ma mère et son livre qui parle de sa rupture où l'on trouve des similitudes avec ton père. Les photos que vous avez retrouvées d'eux lycéens puis une adultes, et vous retrouver dans le même lycée,

Alice lui avait donc parlé de nos retrouvailles. Pas que je n'aimais pas Jamal mais je voulais que cela reste entre nous deux.

-C'est peut-être le hasard les écoles, et mon père et ta mère étaient peut-être amis.

Alice: C'est ce que je dis.

Jamal: Et puis j'ai vu ton père s'embrouiller avec le miens il y a deux ans. Réfléchissez bon sang. Dit Jamal en tapant des pieds.

Je ne voulais pas que ce soit cela, je refusais que Alice soit ma demi-sœur, sinon je serais obligé de stopper net ses sentiments qui devenait de plus en plus fort.

-C'est n'importe quoi. Je dis ennuyer.

Jamal: Ont à qu'à faire un test ADN.

Alice: Pas besoin d'aller aussi loin. Elle s'exclama les bras croisés.

J'écoutais sans vraiment écouter Jamal quand je reçu un message.

-Mon père, je dois y aller.

Alice: ok, ont se voit au lycée.

-Ouais bye.

Je sorti de la chambre d'Alice et descendit les escaliers avant de sortir de la maison, j'avais demandé à mon chauffeur de partir sans moi, ce qu'avait dit Jamal me remis en question, je ne voulais pas être lié par le sang avec Alice. J'étais à peine à  cinq mètres de chez Alice quand je vis Adrien au trottoir opposé de celui sur lequel je marchais, il tenait un bouquet de fleurs et il avait des étoiles dans les yeux. Il ne m'avait pas remarqué. C'était quand même pas pour elle ? Je continua ma route mais ne pu m'empêcher de faire demi-tour, je n'avais même pas besoin de me caché pour le suivre, il était tellement, perché. A un moment donné il traversa et sonna à la maison où j'étais il y a à peine quinze minutes. Alice sorti de la maison et frappa Adrien avant de rigoler. Il lui donna ses putain de fleurs à la con.

-Sale connard.

MAYBE IN THIS LIFE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant