Ma Coqueline, c'était mon prénom.
Mon prénom de toi, maman.
Maman, je te vois encore apporté le goûter le samedi.
Et voir les filles tout sourires.
Je me souviens de cette douce époque.
Le fleuve était doux, agréable.
Peut être juste un semblant de sérénité, personne ne sais.Je revois encore tout tes gestes.
Je l'ai connais par cœur.
Tu es ma maman,
Mon nid douillet.Tout ce que tu touché de la pulpe de tes doigt devenait scintillant.
Tes mains douces,
Une peau tiré de porcelaine.Enfant, jamais je ne voulais te lâcher.
Tu étais mon repère.
Tu étais ma muse,
Ma maman.Et puis, plus rien.
Enfin si, l'enfer.
Après, je croyais que j'allais guérir.
Que dalle, ce n'était que le premier plat.
Personne, personne ne peux être près à vivre ça.
Absolument personne.J'ai du voir maman,
Allongée dans un lit entouré de mur blanc.
J'ai du me retenir de touchée maman, à cause de cette merde de virus.
J'ai vue maman rétrécir, s'amaigrir.
Ce n'était point ma maman.Telle une star, tu as rejoint les étoiles.
Les étoiles de New York, celles d'en haut.
Celles qui illumines.Les étoiles qui chante,
Aimais tu chantée ?Tu as tellement chanter que tu as perdue la voix.
N'est ce pas ?
Tu as tellement chanter que tu as perdue la voix.
Charcot, c'est un mignon mot, n'est ce pas ? SLA aussi, non ? Cela ne m'inspire seulement, la version de toi. La dernière version. Celle que personne n'aurait voulu voir.
De cette maladie, je retiens douleurs.Manou, que tu es douce,
Je peux entendre les filles toutes joyeuses samedi à 16h
"Manou !" "Manou !" "Coucou Manou !"
Ton arc en ciel, ta princesse et ton nuage.
Elles ont était... Perdu, si puis-je me permettre de parler à leurs noms.J'ose espérer qu'en me retournant je verrai la brillance de tes cheveux claires, mais voilà.
Tu es bien morte.Mais maman, Je t'aime.
Ne t'en veux pas d'être partie.
Personne ne t'en veux.
Nous t'aimons,
La guerre après ton présent n'était que débilité.
Ce n'était pas amour.
Nous, on a fait guerre pour l'amour,
Nous t'es enfants qui t'aimons.
Tes petits enfants,
Les gens du quartier,
Les inconnus.
Tout le monde.
Tout le monde t'aimaient.
Tout le monde t'aime.
Oui, tout le monde t'aime maman.
Mais je t'aime encore plus fort, maman.
Je t'aime ma maman.Signée ta Coqueline.
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Ce poème est du point de vue de ma maman :) !
Ce poème est enfaîte écrit pour ma maman.
Mais autant vous le partager aussi !
Ici, je parle de la Maladie de Charcot, aussi appelée : SLA.
Avec cette maladie on perd la voix, voilà le pourquoi de la phrase, on perd la mobilité de nos membre, impossible de bouger (correctement selon les stades de la Maladie) car oui il a plusieurs stade, forcément plus t'es en rouge plus tu... Plus tu voilà, dit vite en revoir. Malheureusement, ma grand mère (Manou❤️) avait tout les suppléments. :)Je vous invite à aller voir des vidéos, émission sur cette maladie, c'est très émouvant. Et même partager une vidéo. C'est déjà énorme !
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Mon Recueil De Poèmes
PoetryBonjour ! Ici c'est mon petit monde, Ma passion ❤️ ! Ici je viens m'évader de ma vie, je danse avec les mots. ~~~~~~~~~~~~~ Je tiens à vous dire : Mes poèmes du débuts, son mes poèmes du début :) ! C'est-à-dire nul. J'ai choisi de ne pas les chang...