Bonjour ! Ici c'est mon petit monde, Ma passion ❤️ !
Ici je viens m'évader de ma vie, je danse avec les mots.
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Je tiens à vous dire : Mes poèmes du débuts, son mes poèmes du début :) ! C'est-à-dire nul.
J'ai choisi de ne pas les chang...
J'ouvre ma fenêtre car j'étouffe, Le vent agréable ce faufile entre mes cheveux. En ce moment que n'est chaleur et bonne humeur.
Et puis il y a moi, La peur d'être heureuse,
Faire un pas dans l'inconnu.
Il n'y a plus cette pluie que je chérie tant. Non, maintenant plus que de la bonne humeur. Le sourire des gens. Qui attendaient avec joie ce soleil.
Alors que moi, pauvre soldat sous la pluie souriante. Soldat qui aime la pluie, Ne se sentant plus seule quand je la regarde s'abattre.
Quand je la regarde je ne suis plus seule.
Puis-je rire autant que je pleure ? Montrée mon plus beau sourire, car je vais bien, très.
Alors dans mes rêves les plus fous, mes rêves deviennent réalistes. Et ce beau futur arrive. Car j'adore rêver. Mais j'ai peur, et sans espoir.
Mais j'essaie de ne pas renoncer.
Car je veux être la lune, et apporter de la lumière au personnes qui marchent seules dans le noir. C'est ce qu'a dit Jongup. Et j'y crois, je veux.
Car je veux regarder ma mère, et lui dire,
Maman, je l'ai fais ! Je t'aime ! J'ai réussi, et je suis fière ! Je suis heureuse maman ! Je le suis !
J'aimerais... Mais j'attends.
Mais bon ! Si aujourd'hui était parfait, il n'y aurait pas besoin de lendemain. Et je suis d'accord avec Seungmin.
Et je lui ai promis,
Monsieur, je vous promet. Un jour vous verrez mon nom. Et cela voudra dire que j'ai réussi, et heureuse ! Pour vous ! Je vais faire de mon mieux.
Je veux le faire, pour toi, Monsieur.
Alors je vais continuer d'admirer la pluie qui se libère comme moi, la lune qui éclaire le monde comme une vraie star. Les étoiles qui brilles de mille feux pour montrer leurs plus beaux aspects. Qui donnent envie de rêver. Je vais continuer, oui, avec admiration.
Et je vais sûrement pas y arriver, alors je continurai quand même. Car je penserais à toi. Et je peux me rater. On s'en fiche.
Alors je ferme ma fenêtre, Prend mon cahier. Et m'allonge dans mon lit. Et je souris, A cette stupide pensée que je me fais. Attend, un jour je pourrai être heureuse ? Et j'ouvre mon cahier et, je peux me dire, Oui, je pourrai, tu t'imagine ?! Ça doit être trop bien ! Et je rigole toute seule. À m'imaginer moi heureuse.
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