Vacances entre frère et sœur...

CHAPITRE 4 - MARTYR

Je devais donc reproduire ma besogne avec les pieds de Louise. Mais sentant déjà mes petits muscles se fatiguer et se tirer, j'hésitais un instant. Mais c'est là qu'au bout d'un petit moment, Sarah intervint.

Sarah: Bah alors? si tu veux je peux te le mettre tout de suite mon coup de latte ça ira plus vite !

Je m'exécuta donc sans choix et baisa les bijoux de la jolie blonde comme si ma vie en dépendait. La dixième passa sans souci, c'est au bout de la quinzième que mes bras ne purent plus faire d'avantage. Je me retrouve incapable de remonter et avant même que mes bras ne lâchent, l'autre harpie me mit un douloureux et sans retenue coup de pied en plein abdomen et m'allongea sur le dos.
Mais la sevice ne prit pas fin. Elle monta et se servit de moi comme de son vulgaire tapis en me piétinant.

Sarah: t'es un paillasson un peu plus agréable que je pensais, je devrais t'abandonner à ma porte pour pouvoir m'essuyer les chaussures quotidiennement
Laura: Mais pour ça, faudra peut être voir avec moi
Sarah: On peut se le filer à n'importe quel moment au pire

Elle me piétine sans vergogne la gueule. Puis elle relève soudain son pied et le repose sur mon torse.

Sarah: Esclave, tu as bien été servi niveau "parfum" hein?
Laura: Hahahaha, ça c'est le cas de le dire !

répondit ma sœur avant que je ne puisse bafouiller le moindre mot.

Sarah: c'est que le début ! Tu a apprécié mes mi-bas et bien ce sont celle que je n'ai jamais nettoyées. Je les ai portées régulièrement depuis des mois ou années, je ne sais plus vraiment. Tu n'auras jamais pu sentir une telle odeur.

Et elle n'eut pas tort.
Ces pieds été vernis d'un noir étincelant 
Mais le pire restait à venir, elle mit sans aucune forme de pitié le bout de son panard en plein sur mon nez.
J'en avais du mal à croire ce que mes narines sentaient à ce moment.
Elle tira sur ma laisse et m'ordonna

Sarah : Je veux t'entendre renifler

Je me mis à renifler à plein poumon cette odeur indescriptible et bien trop forte.
Ce parfum resta dans mes narines pendant un long moment.
Sarah se reposa sur le sol et s'assit par terre derrière ma tête, et posa délicatement ses deux pieds sur ma tête. Leur odeur était vraiment extrême, dire qu'elle n'avait pas lavé ces pieds depuis une semaine, un parfum si puissant que c'en était indescriptible.
Mon nez avait du mal à encaisser toutes ces effluves, et malgré mon plaisir, des larmes surgissaient, je ne savais pas si c'était des larmes dues à la puanteur ou à la joie.
Mais ce n'était pas fini, Sarah reprit ses deux mi-bas. Puis elle les mit dans ma bouche. J'avais déjà goûté à de telles choses avec Laura, mais leur goût était bien plus fort également. C'était à la limite du surréaliste de suer et sentir à ce point des petons.
Elle me mit ses orteils au nez et j'étais évidemment dans l'obligation de respirer avec mon nez, c'était infernal mais jouissif, un parfum nauséabond.

Quand soudain, je sentis mon caleçon être retiré, exposant mon sexe en érection totale. Puis j'ai senti un pied enveloppé d'un collant commencer à me masturber, c'était les pieds de Laura.
Les vas et viens, la sensation de sa plante et de ces orteils moites, l'odeur et le goût incroyable des pieds de Sarah, je finis par faire la plus grosse éjaculation jamais entreprise, des giclées de partout. Sur les pieds de ma sœur.
Sarah m'ordonna

Sarah : Et bien dis donc ! Maintenant va falloir tout nettoyer ta bêtise...
Laura : Et oui ! Nettoie ton sperme sale esclave !

Tellement excité par ce qui c'était passé, je mis à lécher les pieds de Laura. Je n'avais jamais goûté mon propre sperme, mais je peux dire maintenant que c'est pas si dégoûtant que l'on pourrait penser, surtout sur des pieds avec des collants.

Laura: Bon, je me suis bien amusée aussi mais je vais faire une pause dans tout ça, on se remet ça bientôt si tu veux

J'étais un homme heureux, tout en étant traité comme la dernière des merdes pendant trois jours.

Louise restait silencieuse, puis c'est après le départ de Sarah et le fait que ma grande sœur soit couchée qu'elle me fait une proposition.

Louise: Je veux être avec toi cette nuit.
Moi: D'accord, je le veux aussi!

Après ces trois jours, je me suis empressée de prendre une douche. Après celle-ci, j'ai rejoint Louise dans ma chambre.

En ouvrant la porte de ma chambre, je vis une déesse, elle était nue, sa belle poitrine et ses fesses fermes étaient un beau spectacle, j'allais sur elle et l'embrassa langoureusement, dans ses bras.Je lécha son corps, ses seins, puis descendis jusqu'à son vagin.
La sensation de ma langue sur son vagin était exceptionnelle. Lui procurée du plaisir tout en léchant, est une sensation indescriptible pour un homme.

Tellement amoureux, nous avons fait l'amour pour notre première fois, je l'entendis pousser quelques petits gémissements. Il ne pouvait y avoir meilleure conclusion à ces trois jours tout bonnement superbes. Comme un rêve devenu réalité, et en plus de ça cette jolie fille actuellement dans mon lit devenu ma copine.