" L'obsession du suicide hante plus de gens qu'on ne croit..."
Ça porte s'ouvrit dans un grincement Sunghoon crue d'abord au faite que ça mère soit rentrée mais ne sentit pas le même parfum au coton qu'elle portait d'habitude. Et l'idée de son père s'effaça immédiatement, il n'avait jamais porté une telle odeur. Cette odeur, elle ressemblait fortement à du géranium et à la lavande.
La lumière s'éteignit, il le savait le clic de l'interrupteur se fit entendre. Il comprit vite qu'il était censé être seul, mais entendre sa porte bouger tout doucement ne présager rien de bon." Salut, je me permets d'entrer. Dit-il sur le ton de la rigolade."
Sunghoon frissonna à l'attente de cette voix grave, qui devait être très charmeuse.
Il entendit les battements de son cœur s'accélérer, il ne savait pas si c'était la peur ou juste ce son si agréable à entendre.
Il essayait d'être calme. Le pire de tout cela il ne pouvait pas prendre ses jambe à son cou ni voir si un danger arrivait.Ou juste observer cette mystérieuse personne.
" Eh, jeune homme ! Pourquoi tu me réponds pas ? Et regarde moi dans les yeux ! "
L'homme commençai à perdre patience, Sunghoon le ressentit. Des ce moment dirigea vers lui. Sunghoon se mit à remper tout au fond de son lit, comme il put. Ensuite, il se mit sous sa couette.
En se disant que sa le protégerais.
" Eh, tu crois être protégé ? Et il éclata de rire. Tu fais pitié, aller viens petite merde."
Il retira la couette et attrapa Sunghoon par le col de sa chemise. Le balança contre un des cinq murs de la chambre. Un cadre tomba, du verre plein dle sol et il fallu que le brunet retombe dessus. Il sentit un lique lui couler dessus.
Un silence s'installa, la personne dans sa chambre ne bougeait plus. Sunghoon était plus tendu que jamais. Il essaya de relever sa tête... or sa tête se fit plaquer au sol sûrement à cause d'une chaussure.
" Non, ne pars pas. Sinon se ne serai pas drôle et tu me feras de la peine. Dit-il d'une fausse moue.
- Mais laissez moi ! Pourquoi moi !? Toutes les larmes de son cœur coulaient le long de sa peau.
- Tu oses demander ça ? Tu rigoles ? Mais quel culot. T'es pété de tunes, tu ne le vois pas ? Argumenta sa phrase d'un petit rire.
- Bah, non. Je ne vois pas ! Hurle- t -il."
D'un coup la pression sur sa tête se radoucit. Plus un bruit, sauf la respiration bruyante du non-voyant. L'intrus reprit la parole :
" Tu te nommes comment petit ?
- Sung... Park Sunghoon Monsieur.
Affirme- t -il.- Ah... je vois, encore plus de tune que je ne le pensais. Murmure- t -il. J'ai un truc à te proposer. "
-Ou-oui..."
Le garçon retira complètement son pied de la tête de Sunghoon et le prit par les épaules pour le relevé le lâcha mais il retomba direct, ne pouvant se maintenir. L'individu se mit à éclaté de rire et le prit sous les bras et les genoux. Le souleva jusqu'à le poser délicatement sur son lit. Il sentit qu'on s'asseyait à côté de lui. Il s'était radoucit tout à coup, ne le touchant pas.
" Comment pourrais-je faire ?
- De quoi ?
- Je m'ennuie et tu ne pas peux pas bouger, et pourquoi en faite ?
- Je suis tombé dans les escaliers, petit et je ne peux plus vraiment bouger mais jambes. Mais mon rêve est de remarcher .
- Voir, ne t'intéresse pas ? Dit-il captivé.
- Si mais... au moins je n'aurai plus trop besoin de l'aide de ma mère.
- Ah je vois... Dit-il pensant. Et tu as quel âge.
- J'ai 16 ans, et vous ?
- 21... Tu penses que je ressemble à quoi ?
Sunghoon se mit à sérieusement réfléchir à la question. Comment l'imaginer ? Déjà, comme quelqu'un de fort en référence à sa voix. Et jeune par rapport à son âge, grand vu à la hauteur auquel il l'a porté. Il expliqua tout ça à la personne en face de lui, qui ne le coupa pas dans son récit.
" Tu es un très bon obse- tu écoutes très bien.
Il se rapprocha peu à peu de Sunghoon jusqu'à atteindre son oreille pour lui chuchoter :
" De qui tiens-tu cette beauté ? Dit-il d'une voix suave.
- Probablement de mon père, pourquoi ?
- Non, juste pour savoir. Et tu fais quoi de tes journées quand tu es seul.
- Pas grand chose, et en plus ce n'est pas très intéressant.
- Répond. Dit-il sèchement.
- D'accord, d'accord. Quand je suis seul... en faite c'est un peu dur, je suis pratiquement jamais laissé à la maison sans surveillance. Mais les fois où s'est arrivé, je me suis forcé à dormir pour faire passer le temps.
- Tu t'en rends compte ?
- De quoi, dois-je me rendre compte ?
- Que tu me parles.
- Je vois pas là où vous voulez en venir.
- Je me suis échappé de prison et on se parle tranquillement.
- Qu'avez-vous fait ?
- C'est une longue histoire.
- J'ai rien à faire de toute façon. Dit-il sur le ton de la rigolade.
Le prisonnier hésita longuement, et comment ça, son histoire.
💮
Bon... c'est très court mais faisons avec.
😅
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Your steel bars
Teen FictionDerrière ces énormes baies vitrées le silence règne. Je les vois toute la journée, sans bouger. Ce jardin magnifique entretenu par les jardiniers. On me dit " Lève toi, pour courir dans ce merveilleux champs de fleur." Moi, me lever, courir. C'est u...