La Salsa des désirs

Un début à tout

Je précise que cette histoire dans ma propre imagination se passe en été 2023
Ou Gabriel Attal est ministre de l'éducation nationale et Jordan Bardella président du RN.

Tout n'est que le fruit d'une imagination et aborde le thème "ennemis to lover" .

N'hésitez pas à mettre des commentaires 🤗

Cetait une soirée de juin 2023, calme et douce, et la nuit tombait sur Paris. Dans son bureau, éclairé juste par une lampe, Gabriel Attal bossait encore. Ministre de l’Éducation nationale, il avait une tonne de boulot à finir avant la fin de l’année scolaire. Il espérait prendre quelques jours de repos bientôt, mais pour l’instant, il devait s’occuper des derniers dossiers.

Pour Gabriel, ce boulot, ce n’était pas juste un job : c’était un combat, un vrai engagement. Cette année, il s’était particulièrement investi sur deux sujets : la lutte contre le harcèlement scolaire et la défense de la laïcité. Il savait à quel point ces problèmes pouvaient avoir un impact énorme sur les jeunes et sur la société.

Mais ce soir-là, son esprit était surtout préoccupé par une grosse réunion prévue le lendemain à l’Élysée. Tous les chefs de partis politiques et les ministres importants seraient là. Une réunion tendue en perspective. Depuis les élections de 2022, les débats politiques étaient devenus explosifs, avec des échanges qui viraient souvent à l’attaque personnelle.

Gabriel, pourtant habitué à ce genre d’ambiance, commençait à se lasser. Mais il savait que son rôle était crucial. Il devait défendre ses idées, même si ça devenait fatigant. Il était prêt à affronter cette réunion, même si elle promettait d’être pénible.

De l’autre côté : Jordan

Pendant ce temps, Jordan Bardella, président du Rassemblement national, n’était pas beaucoup moins occupé. Depuis qu’il avait pris la tête du parti en 2022, il portait une énorme responsabilité. Marine Le Pen lui avait donné beaucoup de liberté, ce qui était à la fois un honneur et une pression supplémentaire.

Jordan donnait l’image d’un leader sûr de lui, solide, mais en vérité, il avait aussi ses doutes. Entre les attentes du parti, la pression des médias, et les tensions au Parlement, il avait rarement une minute pour souffler.

Ce soir-là, il dînait avec Marine et d’autres membres importants du RN pour préparer la réunion de l’Élysée. La stratégie était claire : il fallait marquer des points tout en gardant un ton sérieux et réfléchi.

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Retour à Gabriel

De son côté, Gabriel essayait de décrocher un peu en vérifiant son téléphone. Parmi ses notifications, un message du président :

Président :
« Bonsoir Gabriel, je vous rappelle la réunion de demain à 10h. Reposez-vous ce soir, on a besoin de calme et d’efficacité. À demain. »

Gabriel soupira. Il savait que cette réunion serait compliquée. Face à ses opposants politiques, il devrait peser chaque mot. Ces derniers mois, il avait pris l’habitude de voir ses moindres décisions, paroles, ou silences transformés en polémiques, surtout sur les réseaux sociaux.

Il ferma les yeux un instant pour calmer sa frustration, puis posa son téléphone. Il avait besoin de quelques heures de répit avant la journée intense qui l’attendait. Installé sur le canapé de son bureau, il finit par s’endormir.

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Jordan et son équipe

Pendant ce temps, chez Jordan, l’ambiance était plus détendue. Les discussions politiques étaient intenses, mais la table était animée et pleine d’échanges. Marine observait Jordan avec un regard mi-amusé, mi-admiratif :

Marine :
« Alors, Jordan, t’as l’air en pleine forme ! On te demande beaucoup, pourtant. »

Jordan :
« J’ai toujours été ambitieux, vous le savez. » Il répondit avec un ton calme et sûr de lui.

Jean-Philippe Tanguy :
« Notre Jordan a toujours une carte dans sa manche ! » ajouta-t-il en souriant, les fossettes bien marquées.

La soirée se termina tard, dans une ambiance conviviale.

À 7h, Gabriel se réveilla en sursaut sur son canapé.
« Zut, je me suis endormi comme un bébé. » marmonna-t-il.

Il appela son chauffeur pour rentrer chez lui se préparer rapidement avant de filer à l’Élysée. Une fois chez lui, il vérifia son téléphone. Comme il s’y attendait, une notification :

Monsieur le Président :
« Gabriel, j’aimerais que vous soyez là un peu plus tôt, j’ai des choses à vous dire. »

Gabriel soupira en lisant le message. Malgré son exaspération, il répondit rapidement :
Gabriel :
« D’accord, Monsieur. Je serai là à 9h30. »

Ces échanges montraient une certaine confiance entre Gabriel et le président, mais aussi une relation presque hiérarchique, où Gabriel savait qu’il devait se plier aux demandes.

À 9h30, Gabriel arriva à l’Élysée. Le président l’attendait sur le parvis, un sourire poli sur le visage.

Président :
« Vous êtes ponctuel. Merci d’être venu plus tôt. »

Ils discutèrent dans une petite salle de réunion. Le président expliqua :
« Aujourd’hui, il faut être stratégique. Nous allons écouter les chefs de partis, y compris Bardella et Marine Le Pen. Il est crucial de trouver des terrains d’entente, même avec le RN. Je compte sur vous pour garder un ton calme et apaiser les tensions. »

Gabriel hocha la tête, bien qu’intérieurement, il était agacé. Il connaissait déjà Jordan Bardella, et ce dernier avait le don de l’énerver. Toujours si sûr de lui, presque parfait en apparence.

Le président conclut :
« Vous êtes celui qui connaît le mieux le RN et leurs arguments. Je vous fais confiance. »

Gabriel soupira discrètement. Ce serait une matinée longue et compliquée.

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La rencontre

Quelques minutes avant la réunion, Marine Le Pen et Jordan Bardella arrivèrent dans le jardin de l’Élysée. Gabriel les observa de loin et se força à respirer profondément. Il devait rester courtois, peu importe ce qu’il ressentait.

Le président sortit pour saluer Marine et Jordan, suivi de Gabriel.

Il échangea une poignée de main légère avec Marine, puis se retrouva face à Jordan. Leurs regards se croisèrent, un mélange de défi et de respect mutuel.

Gabriel :
« Bonjour, Monsieur Bardella. »

Jordan :
« Bonjour, Monsieur Attal. »

Leur poignée de main, presque comme un duel silencieux.

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À suivre…