Chapitre 5 : le lendemain

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TW : Âme sensible s'abstenir.

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POV Gabriel :

Précédemment...

Assis sur le canapé, mon tel se mit à vibrer, alors je l'attrape et je regarde qui me harcèle. En regardant à peine mon téléphone, le Face ID s'active et je vois les notifications de « Jordan Bardella ».

En voyant les nombreux messages de Jordan, je me rappelle que je me suis enfui... Je commence à culpabiliser, je n'aurais pas dû réagir comme ça avec lui, je suis qu'un idiot... Je ne mérite même pas l'attention qu'il me porte.

Alors je décide d'ignorer ses messages et d'aller me coucher.

Le lendemain matin

Mon réveil sonne, il était 6h du matin. Je me lève encore à moitié endormie, je me prépare mon café, j'ajoute un petit carré de sucre. Après avoir pris une gorgée, je me dirige vers la salle de bain, après avoir allumé l'eau, la sensation de brulure reviens et mes pensées noires reviennent. Je m'habille en costume bleu, muni d'une cravate bleue aussi, mes pensées noires toujours présentes... Je me demande si elles sont vraiment réellement parties un jour ? Enfin bon je ne peux rien y faire, et puis les savoirs présentes me procure du bien et de la sérénité. Grâce à elles, j'ai l'impression que tout

Après être tout prêt, je prends mes clés, je verrouille l'appartement et je me dirige vers la voiture du chauffeur, qui m'attend depuis plusieurs minutes. Mon chauffeur m'amène à Matignon

Arrivé à Matignon, je fonce dans mon bureau. Sur le chemin de mon bureau, je croise plusieurs personnes, alors je les salue. Enfin, dans mon bureau, je ferme la porte derrière moi. Je me laisse tomber sur le sol... Je me relève rapidement en apercevant la tonne de travail sur mon bureau, je m'approche du bureau... En m'approchant, dans la poubelle j'aperçois cette fameuse bouteille... Que j'avais jetée précédemment.

Oh tiens, les poubelles ne sont pas passées... dis-je, attiré par l'envie de la prendre et de la boire.

Mon esprit est brouillé, les pensées noires refont surface, mais pas comme hier soir, elles sont plus troublantes, comme si j'étais obligé de prendre cette bouteille, comme si j'allais mourir si je ne la buvais pas.

Alors j'attrape la bouteille, j'enlève le bouchon et je la bois d'une traite. Cette sensation de brûlure dans la gorge m'avait manqué... ça me procure tellement de bien de relâcher prise. Après avoir fini cette bouteille, j'avais besoin de plus, beaucoup plus... Alors je sors de mon bureau précipitamment et je me dirige vers le bar situé à côté de Matignon.

« Paradis artificiel (ciel) Tous les jours je fais du sale (sale) S'arrêter c'est difficile, continuer c'est suicidaire » Tellement bon- Stupeflip

Au bar

J'ouvre la porte brusquement, comme si ma vie en dépendait, je me précipite rapidement vers le comptoir, tellement mes pensées noires prenaient le contrôle sur moi, je ne remarque pas que je venais de bousculer quelqu'un. Malgré cette bousculade je ne me retourne pas, je devais aller boire, je DOIS boire, je dois me soûler, je devais RETOMBER dedans. J'étais tellement dans mes penser que je n'entends pas la remarque de la personne.

Vous pourriez faire attention quand même, ce n'est pas trop demander de regarder là où vous mettez les pieds ? dit l'homme que je venais de bousculer.

Je prends la bouteille de scotch, je prends une gorgée, j'ai à nouveau cette sensation qui me fait tellement du bien, puis je me retourne pour voir l'homme que j'ai bousculé accidentellement. En me retournant, je tombe nez à nez avec l'homme que je voulais à tout prix esquiver...

Gabriel - Mais que fais-tu ici ? Tu bois ? Depuis quand ? Demande-t-il, d'un ton interrogateur et inquiet.

Je suis désolée Jordan, mais je n'ai pas envie de te parler, ni de te voir. Répondis-je, en essayant de sortir de ce bar, alors je me dirige vers la sortie, la bouteille à la main

D'un coup je sens une main se serrer autour de mon bras, c'était Jordan qui essaye de m'empêcher de m'en aller.

Gabriel, je ne te laisserai pas partir comme hier, je veux juste t'aider alors laisse-moi m'occuper de toi, je sais que tu as besoin d'aide. Dit-il, d'un ton confiant.

Je n'eus pas le temps de bafouiller quelque chose que je le sens me tirer vers lui, sa main était positionnée sur mes coupures... La sensation n'était pas désagréable en soi, mais elle me rappelait mes envies de recommencer. Jordan vit à mon visage que quelque chose me faisait mal, alors il prit mon bras et il le retourna pour voir si c'était lui qui me faisait mal.

"And she knows, she knows And I know she knows, and I know she knows And deep down, she knows, she knows And I know she knows, and I know she knows" She knows- J.Cole

Quand il aperçoit les coupures, je remarque dans ses yeux le dégoût, le dégoût de mes actes. En voyant le dégoût dans ses yeux, je tire mon bras d'un bon coup et je m'enfuis, la bouteille toujours à la main, je cours en prenant des gorgées en même temps. Je cours instablement car je suis sous l'effet de l'alcool, je manque à plusieurs reprises de tomber, mais je cours quand même jusqu'à Matignon.

Devant Matignon, je remarque les gardes qui gardent la porte. Je ne souhaite pas qu'on remarque l'état dans lequel je suis alors j'essaye de tout faire pour paraitre normal, ce qui... est difficile à faire quand on est ivre. Alors je décide de cacher la bouteille, et je passe devant eux avec un air normal ;

Bonjour. Dis-je en essayant de paraître normal.

Bonjour Monsieur Attal, est-ce que tout va bien ? Vous me paraissez pâle. Répondis un des gardes.

En entendant cette question, je me fige, par peur qu'il découvre que je suis ivre... Alors je décide de leur répondre d'un air normal.

Oui, tout va bien, ne vous inquiétez pas, j'ai juste dû attraper froid, surtout avec ce temps plus que terrible. Répondis-je, avec peu d'assurance.

Après avoir dit cette phrase, je ne laisse pas le temps aux gardes de me répondre que je fonce dans mon bureau. En entrant dans mon bureau, je m'écroule par terre, je n'en peux plus, je veux en finir... Je n'arriverai plus à continuer comme ça, c'est trop dur...

Et voilà que mes pensées reviennent, elles sont si bruyantes, je ne sais même plus ce que je dois faire ou pas... Après quelques minutes, la porte s'ouvrit et une ombre apparaît, je n'arrive pas à distinguer qui est-ce. Je m'écroule, et je tombe dans un sommeil profond...

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Voilà pour la fin de ce chapitre, j'espère qu'il sera à la hauteur de vos attentes.

Je tiens à préciser à nouveau, ne JAMAIS reproduire ce que Gabriel fait dans cette fan fiction, et surtout si vous êtes dans le même cas que Gabriel, parlez-en, ne restez pas seul.

Enfin bref, ça me fait du bien d'écrire à nouveau, mais je ne risque pas de pouvoir faire un chapitre par jour... J'ai trop de devoirs, avec les cours, les devoirs, les contrôles, la famille je ne pourrais pas poster tous les jours, et j'en suis terriblement désolé, je vais essayer de faire ce que Je ne peux pas donner de date pour les chapitres qui suivront.

Je n'ai encore pas eu le temps de corriger, alors je m'excuse d'avance pour les fautes.

Enfin bref à la prochaine !

Passion RivaleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant