Tristesses infinie.

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Je me promène sous la douce lune,Mais je ne ressens ni la brume,Ni Le souffle du vent sur ma peau

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Je me promène sous la douce lune,
Mais je ne ressens ni la brume,
Ni Le souffle du vent sur ma peau.
Je ne sens qu'un lourd fardeau.

Je cherche ton sourire dans le creux de la nuit,
Mais il s'est envolé, comme un oiseau blessé,
Les larmes se mêlent aux rêves que j'oublie,
Et je pleure en silence, d'un amour meurtrie .

Oh, mélancolie, douce amie des regrets,
Tu tisses des toiles, où l'absence se plaît.
Dans le jardin des cœurs, les fleurs se fanent,
Et chaque pétale tombe, comme une vie qui se damne.

Tristesses infinie, je marche dans le froid, 
Un cœur en débris, où l'amour se noie.
Je cherche une lumière, un éclat de chaleur, Mais tout n'est que brume, l'ombre de mon malheur

Tristesses infinie car sans toi dans mes bras :
La nourriture n'a plus de saveur,
Les nuances n'ont plus de couleurs,
Et je ne ressens plus la chaleur,
Ni le froid sur ma peau meurtri par tes pleures.
Petite fleur aux pétales sans bonheur,
Je t'offrirai, un jardin où tu n'auras plus jamais à avoir peur.
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Chanson à écouter :
Here with me,
d4vd

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