Le monde bougeait autour de moi, les murs tremblaient et le sol se transformait peu à peu à un autre sol. Toutes les décorations de la pièces changeaient jusqu'à finalement, me retrouver dans une salle inconnue.Dans un couloir je me retrouvai. L'air était frais. Tout était vide autour de moi. Je ne vis que ce grand couloir, peint par diverses tons de rouge. Le sol, lui, était de couleur noir charbon. Ce long chemin semblait ne jamais s'arrêter, comme s'il n'y avait aucune fin, aucune issue. Je ne savais pas quoi faire dans cet endroit mystérieux, alors je décidai de le traverser, espérant trouver quelque chose, quoique ce soit qui pourrait m'aider à sortir de ce lieu. Tout au long du couloir se trouvaient des portes de chaque côté des deux murs opposés, à seulement quelques mètres d'intervalle. Les portes étaient très abîmées, et donnaient un aspect terrifiant. L'ambiance effrayante était soutenue par le fait que tapissent sur les murs du couloir, des immenses tableaux avec des personnes toutes vêtues de rouge sang. Je continuai à marcher, m'enfonçant de plus en plus dans ce couloir mystérieux, jusqu'à ce que...
Une porte ! Il y avait une porte au bout du couloir !
Je courus à en perdre haleine, ne voulant qu'une chose : sortir de cet horrible endroit. En arrivant quelques mètres devant la porte, je recommençai à marcher mais une chose me surprit soudainement. Sans même avoir effleuré la poignet de cette énorme porte, elle s'ouvrit toute seule. Je m'avançai donc avec prudence dans la salle dans laquelle menait cette porte et je lâchai un hoquet de surprise lorsque les lumières s'éteignirent à mon entrée dans la pièce, toutes ensemble, ce qui instaurait une ambiance angoissante. Je vis au bout de la pièce, une silhouette se déplacer dans l'obscurité jusqu'à ce qu'elle se place face à moi, mais toujours aussi loin dans la pièce afin de renforcer ma peur en ne voyant pas qui était cette ombre. Soudain, alors que l'ombre se rapprochait de moi, les lumières se rallumèrent, me faisant découvrir qui était cette mystérieuse personne. C'était un homme très vieux, très grand, avec une énorme barbe, une tenue royale rouge et noire ainsi qu'un regard d'un rouge profondément sanglant.Tout à coup, le monde bougea autour de moi, les murs tremblèrent et le sol se transforma peu à peu à un autre sol. Toutes les décorations de la salle changèrent jusqu'à finalement, me retrouver dans une autre salle totalement différente.
J'étais à l'académie, je m'éloignai de mon groupe d'amies, et je fonçai dans un couloir pour me diriger vers mon casier et y récupérer mes affaires. Mais je fus coupée dans mon élan par une de mes amies Elya, qui m'attrapa l'épaule pour me retourner face à elle. Elle se rapprocha de mon oreille et dit avec un grand sourire aux lèvres :
- "Attention dans une semaine..."
Puis elle partit, me laissant seule face à mon angoisse qui revenait de faire surface à cause de mon "amie". Pourquoi je stressais autant ? Je ne savais pas. J'avais un mauvais pressentiment, et mon amie ne venait que me confirmer mon redoute constant concernant ce qui se passerait la semaine prochaine : mon anniversaire.Tout à coup, le monde bougea autour de moi, les murs tremblèrent et le sol se transforma peu à peu à un autre sol. Toutes les décorations de la salle changèrent jusqu'à finalement, me retrouver dans une autre salle totalement différente.
J'atterissai dans une nouvelle salle inconnue, plongée dans le noir. Je vis au centre de la pièce, un garçon qui devait avoir mon âge environ, fouiller dans un coffre au pied du lit. C'était donc une chambre. Le garçon, qui avait la tête baissée, semblait concentré dans ce qu'il faisait. Mais sans que je ne puisse faire quoique ce soit, je vis un homme habillé tout de noir, sûrement pour se fondre dans la masse, rentrer dans la chambre en entrant par la fenêtre ouverte. Il s'approcha du garçon à pas de loup et je vis sortir de sa poche un poignard. Je criai à plein poumons, espérant que le jeune garçon m'entende et se retourne à temps. Mais ce ne fut pas le cas. Je criai, mais c'était comme si je criais dans le vide, comme si personne ne m'entendait, comme si...
Je n'étais que spectateur de la scène qui se déroulait sous mes yeux.
Je lâchai un hoquet de surprise lorsque brusquement, la personne poignarda le jeune garçon, avant de regarder dans ma direction et de se volatiliser. Je vis maintenant, face à moi, ce corps à quelques mètres seulement, affalé au sol.
J'ai vu de mes propres yeux, un meurtre...
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Fanticalia, The real monsters
FantasyFanticalia. Un monde fantaisiste où tout semble aller bien. L'eau dorée, les arbres aux feuilles roses... Tout est beau, tout est charmant, mais subsiste dans ce monde des secrets très sombres. Dans ce monde où règnent des créatures transmises héréd...