La fievre du pouvoir

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Ellie :

J'arriva dans le salon. Papa mordit au poignet une serveuse. Tata le regarda. Il mit le sang de la serveuse dans un verre. Je m'assis sur le canapé.

Klaus : as-tu parlé à notre ami Marcel aujourd'hui ? Ou à Amber ? Elle ne répond plus.
Ellie : j'ai plus de nouvelle non plus.
Rebekah : non. Aurai-je dû ?
Klaus : Marcel se mure dans le silence. D'aucuns diraient qu'il m'évite. J'ai cru qu'il en avait chuchoté la raison à ton oreille. Entre deux mots doux.

Je lui balança un coussin. Il me regarda en souriant.

Rebekah : si je le vois, je lui demanderai s'il t'en veut.
Ellie : vous avez fini ?
Klaus : permets-moi d'exprimer ce que disent tes yeux. Mon noble frère, Saint-Elijah, est en proie aux pires souffrances, victime de la morsure du bâtard, alors qu'une goutte de son sang mettait fin à son calvaire.
Rebekah : au contraire. Je savoure le petit-déjeuner en attendant le retour d'Elijah.
Klaus : tu me regardes de travers depuis l'aube. Qu'y a-t-il ?
Rebekah : peut-être que je redoute, si je donne mon avis sur tes actes, de finir sous tes crocs toxiques.
Klaus : n'importe quoi. Jamais je ne te mordrais et c'est pareil pour ma fille et Amber. Elijah a porté des accusations choquantes sur mes intentions. Il mérite un ou deux jours d'inconfort. En outre, tu sais que mon châtiment préféré pour tes incartades, c'est la dague.

Je le regarda. Je lui relança un autre coussin. Tata me regarda en souriant.

Rebekah : il y a quelque chose qui cloche chez toi.

Elle allait partir mais s'arrêta.

Rebekah : au faite, j'ai entendu dire qu'Amber était au courant pour le bébé. Et qu'elle l'a vraiment mal pris.
Ellie : maman est au courant ?
Rebekah : sa m'étonne que tu sois encore en vie Klaus.

Elle partit en souriant. Je regarda mon père.

Klaus : on est mal.
Ellie : on est très mal même.

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Amber :

Marcel rentra dans ma chambre.

Marcel : pas de cadavres, pas de meubles cassés, rien de briser. C'est pas normal.
Amber : tu as raison. Dès que je le vois, il le regrettera mais en attendant laisse-moi.
Marcel : je venais te dire qu'on allait faire une attaque contre Klaus. Tu veux en être ?
Amber : non. Je veux être seule.
Marcel : Amber...
Amber : sors. Maintenant.

Il partit.
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Je les écouta parler.

Tyler : Klaus n'a pas toujours été hybride. Il a rompu le sort qui contenait son loup-garou et ce côté à pris le dessus sur certains traits vampiriques. Il peut transmettre le gène loup-garou. C'est la qu'intervient la louve. Elle est arrivée a feint d'être mon amie et a couché avec lui. Elle porte leur enfant.

Je serra la barrière en bois trop fort et elle se brisa sous ma main. J'entendis le rire de Diego.

Diego : c'est quoi, ça ?
Marcel : écoute.
Tyler : quand Klaus est devenu hybride, il a trouvé comment faire des loups-garous ses semblables. J'en fais partie. On avait tous les avantages des vampires : la force, la vitesse et nos morsures pouvaient tuer un vampire. En revanche, on lui devait loyauté. Une loyauté surnaturelle.
Diego : c'est pour ça que tu nous libres ses secrets ?
Marcel : justement, Diego. Il a réussi à rompre le charme.
Tyler : J'ai aidé les autres à se libérer. Klaus les a tués pour cette trahison.

Le retour du roiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant