°Chap_7

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La semaine paraît tellement longue.

Je mourai d'envie d'arriver à samedi.

J'avais parlé de ça à mes copines.

Elles me jalousaient à mourir.

Cette même semaine, Audrey nous avait annoncé qu'elle était enceinte.

On était sous le choc.

C'est vrai c'était une vielle fille, elle devrait même déjà être en mariage.

Elle ne savait pas quoi faire de cette grossesse mais avait opter de la garder.

Pour dire vrai je m'en foutais.

C'était son problème à elle, pas le mien.

Samedi arriva enfin.

J'étais sur-excitée. J'avais déjà prévenu à ma tante que je ne serai pas là.

11h30

✉️_ salut, t'es prête ?

📱_oui et toi ?

✉️_Prends le taxi, tu dis qu'on te laisse à total manguier, étant sur place fais moi signe je viens te chercher.

Je bondit prendre une douche, m'habiller sexy et sorti.

_Hum iki où vas-tu ? Toute sexy comme ça ?  Me demanda ma tante.

_Je ne vais pas loin j'arrive.

_En tout cas j'espère que tu vas nous le présenter un jour...

_Ekie tata présenter qui?

_J'ai dit quoi? Vas-y ne soit pas en retard.

Justement, je ne voulais pas être en retard. Je ne voulais même pas réfléchir sur quoi elle voulait faire allusion.

Elle l'avait dit devant son mari qui n'osait pas parler.

Étant dans le taxi, je reçu un message de mon oncle.

✉️_J'espère que ce n'est pas un voyou que tu pars voir, je ne veux pas te partager.

C'est toi qui trompe ta femme et c'est encore toi qui est jaloux?

Mon gars ressaisis toi.

Je n'avais même pas répondu à son texto.

Une fois sur place, j'appelai Émilie. Elle vena me chercher au carrefour.

Elle était différent de cette Émilie du lycée.

Elle portait une petite culotte avec un haut qui laissait le nombril dehors.

Elle était canone.

Elle me conduit dans sa maison.

Contrairement à tous les autres professeurs, Émilie était bien aisée.

Elle avait une maison, moyenne, modeste, belle, avec des magnifiques jardins.

Sa maison était belle, je vous épargne les détails.

_Tu bois de l'alcool ?

_Oui Mada....

_Appele moi Émilie, ce n'est plus ton professeur qui est devant toi...

_Alors qui est devant moi?

_Une personne qui veut te baiser.

A ces mots, j'étais mouillée.

_Hum? Tu veux me baiser c'est ça ?

_Je veux te sucer la chatte, frotter ton clitoris conte le mien...tu as déjà eu à faire ça ?

_Non jamais.

_Ça sera très excitant crois-moi.

Après notre verre, elle me conduit dans la chambre.

Son lit était dresser, soignée.

Sur le chevet, je voyais des pénis, des pénis artificiel de tout genre.

J'ignorais l'existence de ces jouets.

Elle me déshabilla, me fit m'asseoir sur les bords du lit, écarta mes jambes, et introduit sa langue dans mon vagin.

Elle me suçait le vagin comme si sa vie en dépendait.

Elle écarta mes deux lèvres bien épilées, et passait sa langue de haut en bas sur mon clitoris.

C'était la première fois qu'on me faisait la chatte.

C'était bon.

Je tenais ses cheveux.

Elle continuait.

L'avantage avec elle, c'était qu'on avait la même corpulence.

J'étais toujours sur la même position, elle pris un pénis, et me l'envoya dans mon vagin.

Son doigt chatouillait mon clitoris, et l'autre main me penetrait avec le pénis.

Je gémissait, je ne pouvais plus garder ça pour moi.

Elle me poussa doucement sur le lit, et continua à faire ce qu'elle faisait.

J'étais noyée dans le plaisir sexuel.

Elle se pencha vers mon sexe, pince mon clitoris avec ses lèvres tout en le chatouillaint avec sa langue, en introduisant en même temps le pénis dans mon vagin.

Plaisir sur plaisir.

Elle se redressa, je pouvais voir à quel point elle était mouillée.

Elle monta sur moi et commença à m'embrasser.

Je passai ma main au niveau de son vagin trempé d'excitation.

J'introduis mes doigts dans son vagin, il était chaud et humide.

Donc c'est à ça que ressemble la sensation d'un vagin ?

Je comprends les hommes.

Je mettais mes doigts dans son vagin et elle faisait la même chose avec le mien.

On se doigtait.

Ensuite, on adopta la position ciseaux.

Pour ceux et celles qui ne le savent pas, la position ciseaux c'est une position où les deux femmes ont les jambes ouvertes et rapprochent leur sexe l'un vers l'autre, et commencent à se frotter.

Je ressentais son clitoris sur le mien, cette sensation était bonne.

Puis sur la même position, elle pris un pénis artificiel qu'elle l'introduit dans nos deux vagins.

Elle commença a faire des va et vient, et moi je suivais son rythme.

On avait baisé toute la journée.

Ça avait été une belle expression lesbienne pour moi.

À la fin, elle me remit un billet de cinq mille francs.

_Hum c'est pourquoi ?

_C'est pour toi, attends donc tu baise avec les gens gratuitement ?

_Je fais juste ça pour le plaisir.

_Serieux là ? Tu peux prendre plaisir et faire de ça un business, tu es vraiment la petite pute dont on parle bref tiens c'est pour toi.

Elle avait carrément raison. Je pouvais faire de ça un business.

C'est plus tard que j'allais comprendre qu'on appelle ça de de la prostitution.

Les filles se prostituent pour subvenir à leurs besoins, or moi, j'avais tout ce que je voulais.

Alors j'allais écouter Émilie et faire de ça un business.




Je ne sais vraiment pas quoi dire à propos de Muriel, 😱 bref c'est une grande fille.

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condamnée par le sexe🔞Où les histoires vivent. Découvrez maintenant