°Chap_4

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Je m'étais réveillée le lendemain j'avais mal partout.

Il m'a fallu 2min pour reconnaître où j'étais.

J'étais couchée, nue, juste avec un drap qui me couvrait.

Il était 15h je crois.

J'étais seule.

Je me demanda bien où les filles sont parties.

Je pris un vêtement dans la penderie de Maëva, je l'enfilai.

Je cherchai mon téléphone mais en vain.

Sûrement il avait disparu, où on l'avait volé.

Les flash de la soirée commençaient à venir dans ma tête et le fait d'y penser me faisait mal au crâne.

Sans savoir où était les filles, je rentrais chez moi.

Ma tante était en déplacement, alors j'avais trouvé son mari.

_Depuis hier j'essaie de t'appeler tu sors d'où ?

_On a volé mon téléphone j'étais chez un amie.

_Fallais même chercher à me joindre franchement.

_Desolée tonton.

Puis je me dirigeai dans ma chambre.

Ma tante n'avait pas d'enfants, donc sa maison était parfois naze.

Je pris une douche, je mis une petite culotte, un léger démembrer, pour dormir.

Faut avouer que la période de janvier il fait extrêmement chaud.

J'étais complètement endormi lorsque je sentis une main douce et chaude me caresser le long de la cuisse.

Peu à peu ça m'enlève le sommeil que j'avais.

C'était mon oncle.

Quand il vit que je leva la tête, il me fit signe de me taire.

_Chuuut ne t'inquiètes pas tu vas aimé.

Je savais bien de quoi il parlait.

Je me redressa lentement, lui donnant le plaisir de voir ma poitrine.

Il fonça sur mes lèvres. Les saisi farouchement.

Ses lèvres étaient tellement douces.

Je n'arrivais pas à me résister, je n'arrivais pas à lui dire non.

Il s'agissait là du mari de ma tante, celle qui avait accepté de m'accueillir dans sa maison.

Mais à ce moment, c'était le dernier de mes soucis.

Il monta sur moi toujours en m'embrassant.

Il appuya mes sein.

Il commença a sucer la poitrine.

Il serra mes seins, de telle sorte de coller les 2 tétons, afin de les sucer au même moment.

Il le faisait tellement bien.

Pendant qu'il suçait mes seins, une de mes mains descendait au niveau de sa braquette.

Il était déjà très tendu.

Sa verge était debout.

Elle était énorme.

Je ne peux dire où je trouvais ce courage, j'étais comme possédée.

Et lui il kiffait cela.

Je lui demandai de se coucher sur le dos et de me laisser prendre les commandes.

Qui aurait cru cela était ma deuxième fois d'avoir un rapport sexuel.

La première fois je n'étais pas dans moi.

Je sorti sa verge de son short, je monta dessus, sa bite était toute chaude.

Il liquide gluant sortait de moi, c'est lui qui m'explique que c'est du lubrifiant naturel de la femme.

Au départ je m'accroupis sur lui, je tenais sa bite entre les mains, et la mettais moi même dans mon vagin.

Lui, il s'occupait toujours de presser mes siens.

Sa verge avait un de mal à entrer dans ma chatte, et c'est ça qui donnait encore plus d'excitation.

Je mis son pénis doucement et délicatement.

Au fur et à mesure que son pénis entrait dans moi, il poussait un petit gémissement.

Une fois à l'intérieur, je me débattais pour faire des va et vient.

C'est à ce moment qu'il tenait mes hanches pour me donner le rythme.

Je le baisais au rythme de ses mains sur ma hanche.

On adorait tout les deux.

Ensuite, une main sur ma hanche, et l'autre qui pressait mes seins.

Je commençais déjà à avoir le rythme dans la peau, il laissa mes hanches pour se concentrer sur mes seins.

Je continuais à baiser.

Au bout de 10min.

Sa mine changea. Je ne peux expliquer ce qui se passait.

Il serra son visage, la bouche ouverte, les yeux fermés.

Je sentis un liquide qui sorta de moi.

Je n'avais pas encore compris ce qui c'était passé.

Il me demanda de descendre.

Il m'expliqua qu'il venait d'éjaculer.

Je l'avais alors expliquer que c'était ma deuxième fois.

_Quelle bonne femme tu es. Tu es un sucre au lit, demain on ira acheter ton nouveau téléphone.

Dit-il.

Je ne sais pas si c'était pour me flatter pour que je garde le silence. Je n'étais plus un enfant.

_Ne t'inquiètes pas je ne vais rien dire, moi même j'ai aimé.

Je venais d'avoir des rapports avec mon oncle.

Il était tellement doux, j'avais adoré. Et j'étais bien d'accord si cela ne s'arrêtait.

Je savais que je trahissais ma tante, et alors ?

Autant mieux profiter comme si elle l'apprend, je ne vais rien regretter.






Je ne sais pas vraiment ce que Muriel avait derrière la tête quand elle se donnait au mari de sa tante, mais voyons où tout cela l'a conduit.

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