hell's paradise 💣💥

Chap 1 : Ce regard...

La jeune femme était patiemment assise sur un banc public, son téléphone en main. Malgré la forte pluie, la verte ne branchait pas, gardant espoir.

Elle regarda l'heure sur son combiné, 23h15... Hanagi ne voulait pas croire en l'éventuel lapin que lui avait posé son copain.

Pourtant, cela fesait bien 3h05 qu'elle attendait désespérément sous cette pluie battante. "Il avait dut oublier, ce n'était pas volontaire", essayait-elle de ce convaincre.

- Neito...

Ce n'était pas la dernière, ni la première fois qu'il laissait la vert en plan et espérer.

Une larme roula sur sa joue, rougit par le froid. Puis deux, trois, quatre, cinq... Les perles salles vienrent se mélanger aux gouttes de pluie.

La verte renifla bruyamment en tentant d'atteigner ses pleurs. De toute manière, Hanagi y était habitué. La solitude avait toujours fait partie de don cotidient.

La jeune femme décida finalement de récupérer sa voiture et de rentrer chez elle. Si la verte restait une minute de plus ici, elle allait sûrement attraper la crêve.

Les rues étaient sombres. A cette heure ci, toute la petit ville était endormie. Le bruit des pas de l'étudiante résonnaient tout autour d'elle.

Elle mit ses mains dans ses poches dans l'espoir de les réchauffer.

Malgré le faite que les rues soient mal éclairés, la jeune femme réussit tout de même à distinguer une silhouette un loin.

Cette dernière était étaler face contre sol. Hanagi se précipita inquiète vers la personne, dans l'espoir de ne pas arrivée trop tard.

- Vous m'entendez ?! Hé oh !

La vert stoppa tout mouvements à seulement quelques centimètres d'y corp de l'homme. Le cendré parrainant un poil plus âgé que la jeune femme.

Son regard se posa sur les deux membres poilus disposer sur la tête du blond. "Comment est-ce possible ?", se questionna cette dernière. Il possedait aussi une longue queue ébouriffée.

Malgré son hésitation, la verte déposa deux doigts contre le coup du jeune homme. Elle réussit à percevoir de petites pulsations régulières.

Il était vivant, mais avait un peur de fièvre.

L'étudiante soupira en soulevant le poids mort. La jeune femme était obliger de ramener la "créature" chez elle pour la soigner.

Comment réagirait le personnel de l'hôpital si elle leur apportait cet homme bête ? La verte n'avait aucunement envie que le cendré finisse séquestrer dans un laboratoire.

- Mais...

Dans le feu de l'action, cette dernière n'avait même pas remarquée que le blond était entièrement nu. Dès rougeurs prirent places sur ces pommettes.

Une fois dans sa petite voiture, la jeune femme couvrit le corp de l'etranger avec son manteau légèrement mouillé.

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Le trajet fut rapide, aucune voiture à l'horizon. Seulement, la température du cendré c'était détériorer à cause du manque de chaleur.

De retour dans son petit appartement, la verte allongea précautionneusement l'homme-chien dans la chambre d'amis.

L'étudiante l'entourage et le recouvra de plusieurs bouillottes et couvertures. Elle lui insérant le thermomètre dans la bouche. 38,7 sa allait déjà beaucoup mieux.

La verte laisse le cendré seul pendant qu'elle alla prendre une bonne douche chaude. Après une bonne demi-heure sous cette dernière, Hanagi s'habille et répartit au chevet du jeune homme.

Enfin poser, la verte prit le temps de détailler son invité. C'était un bel homme avec une carrure de dieux Grec. Ses cheveux blond neige, en bataille, lui donnait un certain charisme.

Une envie la prit soudainement. L'envie de toucher ses deux oreilles poilues. Juste une toute petit caresse.

Alors que sa main n'était qu'à quelques centimètres de la tête du jeune homme, une grande force lui travaille le poignet et la renversa violement sur le lit.

Ses pupilles verte pommes se plongerent dans deux rouges rubis.

Ce regard...

Le blond était réveillé et il n'avait pas l'ire très content...

À suivre...