|Chapitre 23| +18

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Victoria Gonzalez,
📍Maison des Colocataires
20:38

Pablo me jettait sur mon lit, mon frère n'était pas là ainsi que Lauryne ils sont parties ensembles à la plage passer une soirée tranquillement rien que tous les deux.

Pablo : tu es tellement belle... susura-t-il

Ses yeux dérivèrent de haut en bas avant de rencontrer à nous les miens.
Son regard se posa de nouveau sur mon sexe avant que Pablo se noie dans la faiblesse.

Pablo : toi, tout entière.

Pablo abaissa la tête. La chaleur de son souffle s'abattit sur moi et sa langue chaude et humide caressa mon sexe de haut en bas.

Ma tête tomba en arrière et mes hanches réagissent instantanément à son ardeur. Il se retira pour écarté un peu plus mes jambes avant de me dévorer.

Je fermais les yeux, des gémissements brisés m'échappent, et j'empoignai ses cheveux tandis qu'une vague montait en moi, sa langue habile m'entraînant dans une autre dimension. Il écarta mes cuisses de plus belle, ses yeux marrons s'imprégnaient de moi a chaque coup précis.

Ensuite il me pénétra d'un doigt, et je m'enflammai de plus belle. Chaque caresse régulière de son doigt était de plus en plus profonde, répondant a chaque besoin touchant des endroits qu'il désirait. Je me mordis la lèvre pour étouffer un cri alors que mes jambes ce mettaient a trembler sous son emprise.

Victoria : Pablo me récriai-je d'une voie étouffé

Je n'arrivais plus à tenir, il se retira bien trop vite et se débarrassa de son jean et de son boxer a la hâte, sans me quitter des yeux. Totalement nu, il se tenait là, comme il s'offrait à moi une envie de lui qu'il ne pourra jamais comprendre.
Il était magnifique.
Il rempa le long de mon corps languissant jusqu'a sa bouche rencontre la mienne,

ses lèvres dévenant plus douce et sensuelle de chaque baisers.

Il m'embrassa lentement, sans s'arrêter et son entrejambe dure comme de la pierre se pressait contre mon humidité.

Il continua à m'embrasser tandis qu'il se glissait en moi, centimètres par centimètres, m'arrachant des gémissements à mesure qu'il se remplissait. Notre baisé, autre fois intense, se calma sous l'effet de notre connexion, et il enfonça son visage dans la courbe de mon cou.

Pablo : bon sang... Victoria... j'ai besoin d'une seconde... souffla-t-il.

Pablo : Victoria, regarde moi.

Il caressa mon front luisant avec son pouce. J'ouvris les paupières, mes yeux croisèrent un regard brun confiant. Il ne cessait les vas et viens. La seule chose qui le retenait était son coude qui s'enfonçait dans le matelas à côté de moi, mais même son coude tremblait.

Il descendit son pouce sur ma lèvre inférieure avant de m'embrasser à nouveau. je ressentais chaque sensation, chaque poussée, alors qu'il glissait contre mes parois.

Chacun de ses muscles tendus bougeait sous mes doigts sauvages.
Sa main libre se déplaça vers ma poitrine, ma taille, ma... Il traça des cercles lent et délicat sur mon clitoris, m'envoyant aux bords de l'extase tandis que son coude maintenait tremblement de ma jambe. Je dégageai ses cheveux de son front en sueur, ses coups de boutoir s'intensifiaient tout comme mes gémissements. J'enfoncais mes ongles dans les muscles de son dos et il accéléra le rythme, mon prénom s'écoulant de ses lèvres telle une supplice.

Pablo : Victoria... Je vais... Lâche toi et jouis avec moi.

Il me pénétra plus profondément. Il heurtait des zones remplies de désir, mes nerfs était en ébullition.

𝐴𝑚𝑜𝑢𝑟 𝐼𝑛𝑡𝑒𝑟𝑑𝑖𝑡 | 𝑃𝑎𝑏𝑙𝑜 𝐺𝑎𝑣𝑖 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant