La journée d'hier avait été très mouvementée, tout à commencé sur la plage d'Utah. Le 6 juin 2024, cela faisait 80 ans que le débarquement avait eu lieu. Je me demande, comment j'ai bien rejoindre cette époque et grâce à quoi surtout.
Ce matin j'étais, devant une épicerie accompagnée de Mathieu, devant nous se trouvait une queue immense, tout le monde portait avec eux leurs tickets de rationnement qu'ils tenaient fermement dans leurs mains.
Mathieu et moi attendions notre tour patiemment alors que beaucoup d'autres français grondait d'impatience. Les pauvres vivres ça tout les jours.
- Bonjour ! L'épicier le sourire aux lèvres nous regardait, la joie sur le visage. Je regardais autour de moi il restait que très peut de produits dans la vitrine, pourtant quand on sortait de l'épicerie je fit surprise de constater que la panier était plus tôt lourd.
Je suivais Mathieu dans les rues de Paris, la ville n'avait plus aucune lumière, le drapeau allemand qui flottait sur elle, lui faisais de l'ombre.
Alors que je gardais mon regard rivé sur les bâtiments recouvert de drapeaux ennemis, je sentis un regard sur moi. Mathieu qui marchait à mes côtés me tapait dans l'épaule pour me rappeler à la réalité.Je le regardais, ces yeux étaient remplis d'inquiétude.
- Lise, je crois qu'on nous suit. Je veux que tu te comporte normalement. Viens on va passer par la. Me dit-il en chuchotant, au même instant il me pris par la mains et m'entraîna avec lui dans une ruelle, plus étroite. L'étranger continuait de nous suivre, mon cœur s'affola dans ma poitrine.
Mathieu nous faisait partie la suite tourner dans une autre rue, avant que l'on arrive devant une bouche de métro.
- Lise quand je te dis court, on court jusqu'au premier train. D'accord ?
- Oui.
On arrivait devant les escaliers, mon cœur battait a tout rompre.
- Lise cour !
Cour Lise, ne regarde pas derrière toi. La main de Mathieu serrait la mienne, alors qu'on arrivait devant les portes du train, pendant un instant je pensais que nous n'allions pas réussir a l'avoir mais je bondi dans le train au côté de Mathieu, les portes se refermait quelques secondes après. Et je le vis, l'allemand que j'avais rencontré la veille, il me regardait de ces yeux bleus.
Il semblait énervé de ne pas nous avoir attraper, ne pouvant empêcher mes lèvres de se recourbée, je fit un immense sourire à l'allemand qui fronça les sourcils, il pesta dans sa barbe avant de me regarder partir.Dieu soit loué !
...
Quatre jours, cela fait quatre jours que je suis arrivée à cette époque. Depuis l'événement de la poursuite je n'es pas recroiser l'allemand. Heureusement je dois dire, cet homme avait une mauvaise réputation, tout le monde le montrait comme un monstre, un homme qui tue de sang froid.
J'ai entendu des rumeurs qui disaient qu'il appréciait par dessus tout torturer, les pauvres gens faisant partie d'un réseau de résistance. Quand j'ai appris cela mon sang n'as fait qu'un tour.
Il était dangereux.
Vingt heure déjà. Il ne me restait plus qu'une heure avant de devoir rentrer chez moi comme une civile qui veut a tout pris éviter les problèmes, oui c'est ce que j'aurais fait normalement, mais pas la. J'ai eu ma toute première mission, qui est de livré des tracts, à chaque foyer pour leurs faites part du combat qui a lieu dans l'ombre.
J'avais rendez-vous, à vingt-trois heure, il fallait prié pour ne pas se faire prendre a cet heure là. Max m'avait dit de ne rien utiliser, c'était mieux car au cas où que je croise un camion allemand j'aurais le temps de me cacher alors que si j'étais en vélo, ça aurait été plus compliqué.
Vingt-trois heure et demi, me voilà seule dans les rues de Paris a livré des tracts à chaque boîtes aux lettres, la peur me noua l'estomac un peu plus à chaque pas. Je crois que c'était la première fois que j'avais autant la trouille. Quand j'étais encore à mon époque, j'avais peur pour mes examens, rien de grave comparé à ce que je fais la.
Mon sac devenait de moins en moins lourd au fil des minutes, et puis j'arrivais enfin au tout dernier journal de la résistance, dessus y était inscrit, un de ces fameux titre qui attire les français. " Le Franc-tireur".
Je souriait en mettant le dernier tract dans la boîte aux lettres. Ne faisant point attention a mon environnement, des farres de voiture arrivèrent dans la direction, prise de court je me faufila dans une allé sombre, qui n'était pas bien visible de la route, le camion passa, des personnes qui portaient l'étoile était dedans, ces pauvres gens commençait à se faire raflé dés 1941.
Et dire que dans un an, 12 884 personnes juives vont être déportés.
Seigneur venez-moi en aide, pour tous les aider...
...
La lumière du plafonnier éclairait très peut la pièce, à l'odeur d'humidité et de sang. Au milieu de cette pièce un homme en sang se trouvait attaché sur une chaise, ces cheveux avait coller sur son front et sa chemise qui était autrefois blanche, était devenu rouge. Son sang avait tâcher, le tissu. L'homme n'avait rien dit depuis son arrivé ce qui énerva l'officier au plus haut point.
- Je veux des noms ! Qui ? Parle, pauvre idiot su tu veux rester en vie ! Hurla l'officier a l'homme attaché depuis presque deux heures à la chaise.
- Paul-Émile Delannai, je suis peintre.
L'homme répéta sans cesse la même phrase. Ce qui fit bouillonné l'officier de rage, son visage devenait rouge, et ses yeux étaient devenus noir. Alors qu'il attrapa le premier objet sur la table en bois tâcher de sang. Un sourire sadique aux lèvres il dit :- Savez-vous pourquoi tout les français me déteste ?
L'homme ne pu s'empêcher de faiblir face au regard de l'allemand. La peur lui monta, il eu l'envie de vomir en voyant l'outil qui allait leur faire plié de douleur.
- Je...
- Parce que je suis le meilleur dans mon domaine. Moi Rudolf Morh.
Le SS souria de toute ces dents en arrachant les ongles de l'homme. Celui-ci ne pu retenir ces cris de douleurs, des larmes coulèrent de ces yeux. Ces membres tremblaient et ce ses doigts étaient en sang.
- Salaud ! Crachat l'homme, au SS.
Celui-ci ne répondit rien et continua, a faire souffrir l'homme durant des heures jusqu'à ce que celui-ci, ne puisse plus crier.
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L'aigle et l'hirondelle
Fiction HistoriqueRéécriture Juin 2024, Les 80 ans du débarquement, se préparent en Normandie. Lise, jeune femme âgée de dix huit, vint de terminer ces études en histoire. Grande passionnée d'histoires, elle s'imagine un jour pouvoir remonter le temps a travers ce...