POUVOIRS CROISÉS, VÉRITÉS CACHÉES.

Chapitre 7

As salamou aleykoum mes kania ( kania parce que vous lisez en douce sans voter un peu comme les kania font).

Bonne lecture 📖

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«Dans les ombres du pouvoir et des relations humaines, chaque geste compte, que ça soit une marque de violence, une tentative de rédemption ou un acte de solidarité. Au cœur des luttes personnelles et professionnelles, la vérité émerge des silences et des blessures»

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Mann damay bayi😭ma tok fi di bind guen di lire té dolen voter. Lolou mom nougn koy wowé day meti rk way dina bayi dé 😭.

Sous marin yi nguen may saff bibiche nonou.

Pour ceux qui ne comprennent pas wolof, j'ai dit que vous êtes magnifiques et vous le serez encore plus si vous votez.

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Objectif: nombre de votes et de commentaires égal 1/2 du nombre de lecture. C'est à dire 100 vues 50 votes minimum et 50 commentaires minimum waw keuy sinon je garde le chapitre en cours pour moi même.
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Narrateur externe :

Le commissaire Mbaye revient sur la scène du crime, devant de la Maison Renaissance, où Ami avait été abattue. La nuit du drame, les coups de feu avaient retenti dans l'obscurité, laissant derrière eux une vague de choc et de questions sans réponse. Ami, une jeune femme sans histoires, avait été retrouvée gisant sur le sol, le corps criblé de balles. Depuis cette nuit, l'enquête piétinait, et le commissaire Mbaye était de plus en plus frustré par le manque d'indices concrets.

Cette fois-ci, Mbaye a décidé de revenir sur place en plein jour, espérant qu'à la lumière du soleil, de nouveaux éléments lui sauteraient aux yeux. L'atmosphère était lourde, marquée par une odeur persistante de terre humide. Les alentours de la Maison Renaissance étaient calmes, presque trop calmes, comme si la vie avait déserté ce lieu depuis la mort d'Ami.

Mbaye: on est forcément passé à côté de quelque chose. Sa voix résonnait d'une profonde détermination.

Il était accompagné de son fidèle inspecteur Badji, un homme plus jeune mais tout aussi investi dans cette affaire, et de l'agent Diouf, qui s'occupait des relevés de preuves. Ils observaient la rue où le corps d'Ami avait été retrouvé. Le commissaire se pencha pour examiner une zone que la bande jaune de sécurité délimitait encore. Ils avaient déjà relevé les douilles, interrogé les témoins et fouillé chaque recoin, mais ils étaient encore là, cherchant ce qui avait pu leur échapper.

Badji: les témoins disent toujours la même chose, ils ont entendu des coups de feu, ont vu quelqu'un courir, mais rien de précis. Personne ne semble avoir vu le tireur de face.

Mbaye: ça me paraît trop parfait. Comme si ce meurtre avait été planifié pour ne laisser aucune trace exploitable. Il se redressa, regardant autour de lui, les sourcils froncés. Qui pouvait bien vouloir sa mort ? Et surtout, pourquoi ici, devant la Maison Renaissance ?

Diouf, qui était en train de photographier une zone légèrement à l'écart: vous pensez qu'il y a un lien avec la Maison Renaissance, patron ?

Mbaye: peut-être. Cette maison est censée être un refuge pour des femmes qui fuient des situations dangereuses. C'est soit une coïncidence, soit quelqu'un voulait envoyer un message.