Les Arcs Narratifs
Ah, les arcs narratifs ! Ces belles courbes qui ressemblent à un parcours de montagnes russes, mais qui, en réalité, ne font pas vomir. Le but ici est de construire une histoire qui monte, descend, et finalement te laisse là, haletant, avec un air de "Quoi ? C'est déjà fini ?".
1. La montée en tension
Tu sais, comme quand tu attends que le micro-ondes bip, mais que ça prend une éternité. Ton héros doit rencontrer des obstacles, comme un personnage secondaire qui fait un monologue sur ses chaussettes trouées. Si tu réussis à piquer la curiosité de ton lecteur tout en lui faisant ressentir cette petite douleur à l'estomac, tu es sur la bonne voie.
2. Les conflits
Il y a les conflits internes (le héros qui se demande s'il devrait vraiment porter ce horrible pull à motif de chat) et les conflits externes (un dragon qui lui crache du feu). Les deux sont essentiels. N'oublie pas que même un héros peut avoir des problèmes de mode. Surtout s'il essaie de convaincre sa mère que le look "j'ai décidé de ne pas me coiffer ce matin" est tendance.
3. La résolution
Une fois que tout a été mis en place, il est temps de dénouer les fils. Pense à un beau gâteau en couches. Tu veux que tout s'effondre à la fin comme un soufflé raté, ou que ça reste solide et satisfaisant ? Choisis avec soin. Et surtout, ne fais pas de la résolution un plat de spaghetti, où chaque morceau est plus confus que le précédent.
Grosso merdo l'arc narratif, c'est comme une danse. Parfois, tu peux trébucher sur tes propres pieds, mais si tu es convaincant et que tu mets un peu d'humour, tout le monde sera trop occupé à rire pour remarquer.
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Survival Kit D'un Écrivain En Détresse
AléatoireBienvenue dans "Survival Kit d'un Écrivain en Détresse", ton nouveau meilleur ami (après ton dessert, bien sûr) dans le monde chaotique de l'écriture. Si tu as déjà passé des heures à fixer une page blanche, à t'arracher les cheveux devant ton écran...