Les poèmes de mes pensées

« Je part » Lettre a Dory [1]

Demain ou aujourd'hui au soir, je part ;
Je part car perdu dans cette incompréhension,
Je me disais qu'il fallait que je m'égare.
T'étais plonger dans ton ascension.
Mais moi je n'arrivais plus à voir,
Comment sortir de cette compression.

J'avais jamais aimer ainsi ;
Dans ton souffle,
Je sentis que j'avais grandis.
Faire la course m'essouffle.
J'espérais devenir celle là mais au final j'étais devenu celle-ci.

T'étais devenue mon oxygène.
Je ne sentais plus mes poumons.
On avait besoin de cracher notre haine.
Mais est ce que nous nous aimions ?

Je suis la personne avec qui tu es le plus sortis,
C'est peut être parce que je suis celle qui t'a le plus aimer.
En voyant tes désirs assouvis,
T'en a oublier qui j'étais vraiment.

Toi, il y avait qu'avec toi que j'étais moi ;
Je me perdais dans mes idées noires.
Je ne voyais pas qu'avec toi, je me perdais moi.
Car j'étais trop habituée par cette armoire.
Armoire, qui parfois laisser passer une lumière ;
Qui n'était rien d'autre qu'imaginaire.

Tu me disais
Qu'on était juste amies,
Et que Je vivais dans le passé.
Je me disais
Qu'on était juste meurtris.
Et que j'étais bouffer par le regret.
On s'était trahis.
C'est pour ça tout ce temps passé à pleurer.
Tu m'avais mentis,
Et t'avais oser dire que tu m'aimais.

Maintenant je te le dis ;
Je part, j'en ai marre de me battre.
Ce n'était pas un amour pure.
C'était toi et moi mais t'avais finis par m'abattre.
Mon pull colle toujours mes coupures,
J'aimais bien tes yeux bleuâtre.
Si tu savais à quel point c'était dure ;
T'aurais accepter que je parte,
Les lendemains de rupture.

Je sentais mon âme partir,
Elle devenait trop angoissée,
car rien qu'à l'idée de ton sourire ;
mon cœur battait et mes démons revenait.

Aujourd'hui,
Comme tout les jours,
Je suis à l'école ;
Je ne veux plus de ces démons qui me collent.
Ainsi je m'en sépare,
Je part.

T-Z