« La mer du cancer »

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J'étais avec mon grand père, sur son bateau,
Beaucoup trop haut.
le mal de mer,
M'avait fait perdre ma mère.

Je n'étais plus angoissée,
Hélas, quelque chose en moi me disait
« Qu'est ce qu'elle a changer »
Cette phrase se répétée et je me disais ;
« C'était sûrement les vagues qui nous submergées. »

Nous étions en plein été,
quand tout a encore changer.
Ce n'est pas qu'une histoire racontée.
C'est une réalité.

Ce n'était pas qu'une impression.
Non, j'y avais bel et bien perdu ma vision.
J'y voyait trouble ;
Je me voyais en double.

noyer dans cet océan beaucoup trop grand.
Je me retrouver à affronter la maladie des plus grands.

Perdu entre guerrier et maturité,
L'enfant angoissé réapparaissait,
Le bateau navigué,
Perdu entre vent et marées,
C'était tellement instable que j'en étais pétrifié.
Je paniquais
J'étais à deux doigts de replonger
Ils se battaient, et moi je perdais pied.

Alors que leurs forces rendaient ma mère admiratif,
Moi qui adorer l'amour, c'était le leur qui me rendez pensif...
Les larmes sucrée de ma mère, se mélanger peu à peu à l'eau salée de la mer.
Cela a formée au fil du temps un goût amer.
Le cancer.

On a tous un vécu,
Que peu de gens ont connus,
Et qui pour certains, nous a vaincu,
Un conseil,
Ne forcer pas le destin vous finirez déçu,
Profitez du présent, et vous ferez des merveilles.

Pour mes grands-parents les plus présents.
Tess.

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