Soirée arrosée (1)

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Dans les toilettes d'un bar

Au loin on entend la musique qui résonne à fond, ça ne semble pas nous déranger,
A peine la porte se referme que je me retrouve plaquer contre le mur. Le froid du carrelage en face, la chaleur de son corps à l'arrière,hum. Je passe ma main à l'arrière de son cou, pour mieux l'embrasser, pour mieux caresser sa nuque. Nos mouvements sont pressés, l'excitation dans cette pièce est à son maximum.

Vite plus vite j'en ai trop envie, je ne veux plus attendre. Je veux tout, là maintenant, je veux cette queue plus que prête à me fourrer. Oui, je veux ce tout, plus que que tout, plus vite.

Je me frotte à lui et je gémis au moindre de ses contacts sur ma peau. Il me rend folle, il le sait, j'adore ça, j'en veux encore plus. Sa main droite qui maintient mon cou, ses dents sur mon lobe d'oreille, dans mon cou qu'il dévore... Et sa main gauche, sa main gauche, cette imprudente, qui ne cesse de descendre encore et encore. Me procurant une décharge d'excitation encore plus forte que toute celle que j'ai ressenti avant. Je deviens encore plus folle quand il passe sa main sur ma robe, je brûle quand il me caresse les fesses. Le feu en moi grandit au fur et à mesure que son érection se peaufine. Je la caresse à travers le tissu gémissant de plus belle en m'imaginant l'avaler toute entière en moi. Je le sens sourire contre mon cou quand il tire sur mon tanga mouillé.

Sa main remonte sur ma poitrine, il titille mes tétons à travers le tissu. Il me plaque encore plus contre le mur et sans qu'il me le dise je sais. Je fais tomber les bretelles de ma robe, libérant mes seins durs dont les tétons sensibles pointent. Le froid du carrelage contre la poitrine me fait gémir à nouveau, je me tiens prête, prête à être libérée.

J'entends la boucle de sa ceinture qui se desserre, je frissonne. De l'autre côté de la porte la musique se fait entendre je le sais, je le sens au vibration du mur, mais ici, là maintenant, seul le zip de sa fermeture éclair qui s'ouvre me parvient et me complétement folle d'impatience. Mon impatience monte d'un cran quand la boucle de sa ceinture résonne à travers la pièce devenue trop étroite. Je maintiens péniblement le tremblement de mon corps, mon souffle s'accélère, je me mords la lèvre, la tension entre nous est à son comble.

Mon Dieu, j'en peux plus d'attendre, je suis à bout, s'il vous plaît... Priais je silencieusement

Il me plaque un peu plus fermement contre le mur, la pression de son corps chaud contre le mien, et je sens enfin ce que j'attendais. Sa main explore ma peau, son corps réclamant le mien sans attendre. Une de ses mains descend pour soulever ma robe encore plus haut, dévoilant mes cuisses, et mes fesses à peine couvertes par le tanga. Ses doigts jouent avec le tissu, me taquinent, tirent légèrement avant de le baisser lentement, très lentement, comme s'il savourait chaque seconde de ce moment.

Je suis à bout, je n'en peux plus d'attendre. Je me cambre, pressant mon corps contre lui, cherchant à combler le vide qu'il me fait ressentir. J'ai besoin de sentir son corps contre moi, sa peau, j'ai tant besoin de plus. Je gémis de frustration quand il continue de prendre son temps, effleurant ma peau du bout des doigts, le long de mes hanches, de mes cuisses, alors que je me perds dans l'envie de le sentir en moi.

Et puis, enfin, je le sens. Son corps se rapproche encore plus, sa respiration saccadée dans mon cou. Ses doigts descendent à l'endroit où je le veux le plus, là où mon corps est déjà trempé d'envie. Il me caresse lentement, traçant des cercles qui me font trembler de plaisir, alors que je pousse un nouveau gémissement étouffé. Sa main remonte sur mes hanches, me tenant fermement alors qu'il ajuste sa position toujours pas decider à me pénétrer.

S'il te plaît...minaudais-je, je t'en prie... Je ne reconnais plus ma voix, je ne sais même plus à quoi je pense tends je sens mon sexe battre tellement fort entre mes jambes plus que tremblotante.
Et puis, sans plus d'attente, je le sens enfin, se glisser en moi d'un coup, remplissant ce vide qui me brûlait de l'intérieur. Un gémissement plus fort m'échappe, et je me cambre encore plus contre lui, savourant ce moment où nos corps s'unissent enfin.

Son membre plus que dur se perd au fond de moi, je le sens, tellement profondément ancré en moi que je gémis de plus belle. Il est en moi et plus rien n'existe, plus rien ne compte. Tout mon corps le ressens, tout mon corps en vibre, putain, ce que c'est bon.

Les mouvements sont rapides, puissants, chaque coup me propulse contre le mur, chaque sensation me fait perdre pied. Ses mains agrippent mes hanches, ses doigts s'enfonçant dans ma chair, et je perds tout contrôle, emportée dans un tourbillon de plaisir brut. Mes gémissements se mêlent aux siens, la pièce se remplit de nos respirations haletantes, du bruit de nos corps qui se heurtent avec perte et fracas.

Et quand je pense que ça ne pouvait pas être mieux, il se retire et me retourne si brusquement face à lui que j'en ai presque le vertige. Il fonce sur mes lèvres qu'il dévore comme si sa vie en dépendait. Mes mains le touchent enfin comme ils veulent. Ils passent de leurs cheveux à son cou, son corps que je presse plus près de moi.

Une jambe sur le rebord de toilette qu'il maintient écarté, lui au milieu qui ondulent les hanches de manière désordonnée, son engin en moi, et moi, plaquée contre le mur, une main agrippée à son dos, l'autre caressant ses cheveux. Sa tête posée dans mon cou, son souffle chaud contre ma peau nue fait grimper mon excitation d'un cran.
Putain c'est tellement sensuel, si ...érotique.
Je suis à deux doigts d'atteindre le paradis quand , la porte s'ouvre brusquement...

🌹

Hey je vous ai manqué 🥺 à moi oui J'avais hâte de recommencer à écrire
J'espère que ce chapitre vous plaira
A bientôt pour la suite
La coquine ❤️

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⏰ Dernière mise à jour : Oct 23 ⏰

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