Le roi et le fou

Chapitre 4: La Nuit

Salut à tous !!!
Désolée pour le retard de chapitres ( manque d'inspiration)
Au faite... BONNE VACANCES DE TOUSSAINT à vous !!!!🥳🥳🥳
Et qui dit vacances, dit plus de chapitres !
Je vais essayer ( car les profs ont donner bcp de devoirs, j'aime pas la 3eme !!!!!😭😭😭😭 )
de poster 1 ou 2 chapitres pour me rattrapée de mon retard.
En tout cas bonne lecture à vous 😄

♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧♧

Nous avions demandé les filles et moi à être dans la même chambre, et devinez quoi, nous étions dans la même chambre ! Nous avions choisis nos lits, qui ressemblaient à des lits de prisonniers. J'avais pris celui qui était le plus proche de la fenêtre, d'ou je pouvais voir une forêt. Le ciel était dégagé, pas un nuage à l'horizon. Minuit sonna. Un rayon de lune éclaira notre chambre. Tout à coup, nous avions entendus des pas vers la porte. Une ombre était apparue, et nous avions commencé à avoir peur. Un rire satanique avait retentit et nous nous étions chacune réfugiées au fond de nos lits, en tremblant de la tête au pieds. Puis une tête était apparue, une tête de roi, le même roi que j'avais vu toute à l'heure, sur un des innombrables tableaux. Je venais de me souvenir qu'en dessous du tableau était écrit: " Le roi Arthur et son fou Marcel ".

Une balle avait traverse la porte, une balle rouge, puis, le son de grelots avait retentit partout. La balle avait rebondit dans toute la pièce pour se placer devant la porte. Le roi était entré suivi de son fou. Arthur ( le roi ) avait roulé sur la balle et était tombé sur le sol avec un bruit sœur : " Pouf ". Marcel ( le fou ) avait rigolé et le roi lui avait lancé un regard noir. Puis ils nous avaient regardés avec leurs yeux translucides, sans vie. Cela m'avait donné la chaire de poule, de gros frissons, avec mes dents qui claquaient, ma peau qui transpirait. Mes cheveux s'étaient hérissés et j'avais commencé à trembler de plus belle. Un silence de mort s'était installé dans la pièce. Le roi avait commencé à avancé vers nous quand son fou lui avait lancé : " Il faut trouvé le meurtrier " ( noter la rime 😁 ). Nous nous étions toutes regardées d'un air interrogatif comme quoi nous ne savons pas de quoi ils parlaient. J'avais envie de demandé qu'est-ce qu'il c'était passé. Alors je m'étais levée, et j'avait dis : " Bonsoir messieurs. Je n'ose pas vous déranger mais que c'est-il passé ? - Ça ne te regarde pas jeune fille, m'avait répondu le fou. - Oh s'il vous plaît monsieur, mes amies et moi aimerions savoir pour pouvoir vous aidé comme nous le pouvons. - D'accord, avait soupirer le roi mais ne nous interromper pas, c'est compris ? - Oui, avions-nous répondus d'une même voix.

- Alors voilà, c’était un soir d’hiver, un hiver très rude, en 1876. Le roi et moi nous nous étions retrouvés enfermés dehors. On nous avait chassés du château. Nous avions 16 ans, et une gente dame nous avait accueillit dans son château en nous disant que des enfants ne devait pas se trouver seuls dehors avec un temps pareille. Son château était le Chateau Marcel MONTFORT DU  ROYAL. Sa chambre était tout en haut de la plus haute tour, où elle nous avait élever jusqu’à notre majorité ce qui veut dire 21 ans. Puis, le jour de mes 21 ans, le roi ayant déjà 23 ans, nous sommes allez seuls dans la forêt pour chasser. Puis j’aperçus un cerf majestueux qui se tenait là, devant moi. Mais Arthur persévère a dire que c’est lui qui l’à trouvé en premier. Alors nous nous sommes battus, mais le seul problème était qu’aucu  de nous deux n’étais blessé. Le lendemain matin, nous nous sommes réveillés dans nos lits, morts. Nous avions à peine le temps de nous regarder que l’on était apirer par le tableau. Après, nous nous étions rendus compte que nous étions pris au piège dans le tableau. Nous avions crut que nous allions rester comme ça pour toujours, immobile, muet, mais le soir même de notre mort, nous avions vu que nous pouvions sortir du tableau en tant que fantômes, mais que la nuit et qu’au lever du soleil, le tableau nous rappelait et cela se produit tous le temps.

- Ah je comprends. Mais comment le peintre a pu vous peindre si vous étiez inconscient ? - On ne s’était jamais posé la question, répondit le fou. Mais c’est sûrement quelqu'un du château.  Sinon, comment aurait-il fait pour s’introduire dans le château ?