Chapitre 2 : Le Château

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Nous nous étions toutes regardées en même temps et Aurore avait demandé : " Que se passe-t-il ? Nous sommes vraiment invitées au château le plus renommé de France et le plus chic ?- Eh bien je crois que oui, mais je ne suis pas sûre de vouloir y aller, avait réplique Line. -Aller, ça va être sympa, et en plus, ça se trouve, il y aura des beaux gosses, avait ajouté Juliette. -Hmmm, je ne sais pas trop, avait répondu Line, il faudrait que nos parents soit d'accord. En vrai ça peut être sympa. D'accord, je vais en parler à mes parents. -C'est trop cool, avais-je dis, mais par contre, c'est pour demain soir et nous n'avons pas de belles robes de soirée". Nous nous étions toutes regardées d'un regard triste, et d'un coup le regard d'Aurore s'éclaira:

"Mais oui, je viens de me rappeler, il y a un magasin pas très longtemps d'ici, qui vend de belles robes, pour un prix défiant toutes les concurrences, on pourrait y aller demain matin ? Mais il faut d'abbord demander à nos parents si ils nous laissent y aller et après on verra car si on prend des robes et que nos parents disent non, ça serait un peu bête ?".

Alors, elles avaient chacune de leur côté, appelée leurs parents pour leurs expliquer la situation. De mon côté, j'étais aller voir mes parents pour leur dire :" Maman, papa, avec les filles, on a reçu un message pour nous informer que nous sommes toutes les quatre invitées au château pour un bal. Il aura lieu demain et il nous faut de belles robes, mais heureusement, qu'Aurore connaît un magasin pas très, loin d'ici qui vend de belles robes pas chères. - Et qui va vous acheter les robes ?, demanda mon père.- Je pensait les acheter avec mes économies. - Ne dis pas n'importe quoi, on va vous les acheter ces robes. - Merci les parents !!!".

J'étais retournée dans le salon mais les filles n'avaient pas encore fini. Lorsque Aurore avait raccrochée elle avait le sourire jusqu'aux oreilles. J'en avais déduis que ces parents avaient dis oui. Line avait raccroché avec une moue désagréable à regarder. "Qu'est-ce qui c'est passé ? T'es parents ont dis non ?- C'est pas ça, c'est juste qu'on a pas d'argent pour les robes." Je l'avais rassurée en lui disant que c'est mes parents qui achèterait nos robes demain matin.

Alors, nous avions commencé la soirée en ouvrant le paquet de chips et de chamalow que Juliette avait apporté. Nous n'avions pas fermé les yeux de la nuit car nous avions continuer de parler jusqu'à 2h du matin. Ce qui nous laissait 6h de sommeil, autant dire, pas assez. Mais ce n'est pas grave car nous étions tellement exitées que nous n'avions pas besoin de toutes ces heures de sommeil. Le matin était arrivé et une file d'attente pour la salle de bain c'était créé car mon père prenait trop de temps pour prendre sa douche. Comme nous étions un peu tous pressé j'avais lancé à mo père :" Eh la diva, arrête un peu de chanter et dépêche toi, tu n'est pas le seul à vouloir une bonne hygiène corporelle". Ensuite, la matinée c'étais passée comme si un orage était sur le point d'éclater, car tous le monde était stressé. Quand tous le monde étaient prêt, ma mère nous avait emmener dans notre voiture' évidemment c'était ma mère car comme ça, elle pouvait nous donner des conseille pour les robes. Alors nous nous étions dirigées vers le magasin guidées par Aurore, et nous nous étions garées sur une place de parking juste devant le magasin. C'est la où la partie la plus intéressante commença : les essayages. Chacune c'était dirigée vers le rayon avec les robes qui l'intéressait. C'est alors que j'avais vu la plus belle robe que je n'avais jamais vu.

Elle était bleu turquoise foncée en haut, avec forme marquise épaules dénudées. Plus on descendait vers le bas, plus le bleu turquoise s'éclaircissant. La robe était en satin.

 J'avait hallucinée sur le prix car cette robe aussi belle et qualitative ne coûtait que 133€

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J'avait hallucinée sur le prix car cette robe aussi belle et qualitative ne coûtait que 133€. Je la pris pour l'essayer. Lorsque j'étais sortis de la cabine, ma mère avait les larmes aux yeux de voir sa fille de 13 ans, presque 14 ans, habillée comme ça. Mes amies elles, étaient admiration devant ma robe. Elles aussi avait leurs robes sur elles sui leurs allait à merveilles. Alors, nous avions enlevées nos robes et, dans le magasin, ma mère cherchait des accessoires comme des chaussures assorties à nos robes et 4 sacs. Une fois sorties du magasin, Juliette avait regardée l'heure et avait poussée une exclamation :" Il est déjà 14h00 et nous devons encore enfilée nos robes et nous maquillées". Alors, ma mère nous avaient toutes poussée dans la voiture et d'étais dépêcher de mettre la clé dans le contacte. Et là, c'étais, la première fois que je voyais ma mère comme ça : elle dépassait les limites de vitesse, grillait les feus rouges et les priorités. Arrivées à la maison, nous nous étions précipitées dans la salle de bains et nous nous étions changée à la vitesse de la lumière. Une fois que l'on étais toutes prête, mon père nous avais embarquée dans la voiture pour nous conduire au château en mettant le GPS. Il nous avait fallu deux heures de routes. Deux heures de routes interminables.

Arrivées là-bas, nous avions dis au revoir et merci à mon père. Nous étions rentrées dans l'enceinte du château et nous avions été accueillies par un major d'homme très courtois qui nous avait indiqué une table proche d'une scène en bois. Cette scène était pleine de charme et au fond nous avions cru distinguer comme un rideau en velours. J'avais été surprise par le nombre incalculable de tableaux accrochés sur le mur de gauche. L'un deux m'avais parus suspect avec, à l'intérieur, un roi et son fou, qui se disputait, sûrement à cause d'une demoiselle. Je ne savais point pourquoi je m'étais mise à parler comme au Moyen Âge. Bref, à 19h00min pétante, une trompette avait joué une musique du Moyen Âge , puis le trompettiste s'étais montré en habits du temps de Charlemagne et nous avait dis :"Oyé Oyé ! Jeunes gens. Merci à toutes et à tous d'être venus. Maintenant...". Une main s'était posée sur mon épaule droite et j'avais hurler.

Le roi et le fouOù les histoires vivent. Découvrez maintenant