Chapitre 6 :

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 PDV Angelina :

Oh mon Dieu ! Nan, ce n'est pas possible ! Qui m'a envoyé sa ? Je releva la tête et regarda la cour se vider petit à petit vu qu'il était l'heure de retourner en classe. Moi je n'avais plus de force pour y aller, j'étais anéanti par un message qui a l'air innocent mais ne l'ai pas. Comment j'ai pu avoir de la peine pour lui !? C'est un vrai cauchemars ! Jamais je n'avais pensé à cette possibilité, j'étais tellement en colère, triste, anéanti que je n'avais jamais pensé qu'il pourrait avoir fait sa. Mais quelque chose d'autre me troubla. Quand j'ai reçu le message il était entrain de marcher les mains dans les poches, et en plus il n'a pas mon numéro, cela veut donc dire que ce n'est pas lui qui m'a envoyé ce message et donc que quelqu'un est au courant et peut très bien transférer le message dont le multimédia à tout le monde ! Si cette personne fait ça, je suis vraiment mal, je dirais même dans la merde. Ce multimédia va gâcher ma vie. Je rangeais mon portable dans ma poche et remarqua qu'il ne restait plus personne à par moi et des gens de la perm dans la cour. Je n'avais pas envie d'aller en art plastique, je n'étais pas d'humeur, je voulais juste rentrer chez moi mais c'était impossible vu que les portes sont fermées pour éviter aux élèves comme moi de ne pas sécher les cours. Je ne savais pas quoi faire. Bon si je reste dans la cour les surveillants vont me repérer. Le seul moyen que je vois c'est d'aller à l'infirmerie et de dire que je suis malade, que je ne me sens pas bien et tout le tralala, de toute façon ça ne devrais pas être si compliqué vu mon teint pâle dû au fait de ce message troublant. Je prends mon courage à deux mains et je me dirige d'un pas lent vers l'infirmerie. J'essaye de paraître fatigué en ayant les yeux mis-clos, et d'avoir des vertiges en marchant de travers. Je ne voulais peut-être pas dit mais je suis une excellente actrice. Je marchais donc jusqu'à l'infirmerie, arrivait là-bas je poussa la porte de manière difficile pour qu'on croie que je n'ai plus de force, et je me dirigeais vers un des surveillants vu que dans ce lycée nous n'avions pas d'infirmière. 

-Bonjour, dis-je d'une voix douce et sans conviction

-Bonjour ma chérie, qu'est-ce qu'il se passe ? Me demanda une surveillant qui à je dirais la cinquantaine, des cheveux gris coure, et des yeux bleus, elle est de temps en temps sympathique et de temps à autre tout le contraire.

-Je ne me sens pas bien

-Tu veux aller te reposer un peu à l'infirmerie ? me demanda t'elle inquiète, je vous avez dit que j'étais une excellente actrice.

-Si vous le voulez bien, oui

-Bien, vas-y,mais est-ce que ton professeur est au courant que tu es ici ?

Merde, je n'avais pas penser à ça, bon je vais dire la vérité mais en rajoutant un peu de jeu d'acteur.

-Non, je ne crois pas, toussais-je

-Oh tu as dû attraper un virus, va t'allonger on va envoyer quelqu'un le lui dire, c'est qui la championne ? C'est moi ! Non je ne me vantardise pas, bon peut-être un peu, mais avouez le, j'ai bien réussis mon coup, nan ?

-D'accord, encore merci

-De rien

Je me dirigeais donc vers la pièce où se trouver un lit et des armoires contenant différents médicaments. Je m'assis sur le lit, et essaya tout de même de me détendre mais je n'y arrivais pas. Mes pensées étaient toutes diriger vers l'inconnu qui sait ce qu'il m'est arrivé, de ce média, et de Zayn. Comment allais-je m'en sortir ? Je ne pouvais pas ne rien faire, je crois que rien faire et laisser passer était la pire solution, surtout que je suis d'une nature curieuse alors je vais tout faire pour savoir qui m'a envoyé ce message. Même si je n'en avais pas envie je devais parler à Zayn. Lui seul peut me dire qui est cet inconnu, à qui l'a t'il dit, et la question qui me brûle les lèvres est pourquoi il m'a fait ça, qu'elle idée avait-il derrière la tête pour faire ça ? Ce multimédia ne compromettait pas que moi mais aussi lui alors je ne vois pas pourquoi. 

Au départ, un simple canular... (EN PAUSE)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant