Laura

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Son nom de deux syllabes, hante mes lèvres
et mon crâne. Sa bouche m'ensorcelle,
Passionnante ingénue.

Laura, de ton nom de deux syllabes,
tu me rend malade,
Enfant de Rome, victorieuse fille de l'empereur,
Enfant du laurier, essence de laurier,

Laura, je te dois ode et blâme,
Ton nom subliminal hante mes lèvres malades,
Ta présence m'ensorcelle, pourtant tu es ailleurs,
Toi, la fille du grand puissant, celle qui est couronnée.

Laura, je te dois ode et blâme,
Mais de ta beauté je ne peux qu'être obsédée,
Je ne peux blâmer ton regard si clair,
Et encore moi tes voluptés morales.

Laura, je te dois ode et blâme,
Tu détruis ce que tu touches et soigne ce que
tu admire, si je te prend la main,
Me regarderas-tu avec ce sourire qui te sied tant ?

Maux Dits [ Poésie ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant