Fureur

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Je m'efforce de garder le sourire,
Mais les larmes menacent de couler,
Quand mon regard croise votre incroyable beauté.

Je m'efforce de garder la face,
Mais la colère ressurgit dans mon corps,
Quand, de votre splendeur, le vôtre me fait face.

L'air est si chargé, si chaud,
J'en deviens folle alliée, qu'une vulgaire aliénée,
Quand votre regard me transperce, oh mon aînée
Vous êtes aussi précieuse que l'or d'une touchaud.

Mais la rage fracasse mon être,
Vous n'êtes que du paraître,
Je hais votre être tout entier,
Par vôtre faute on doit me châtier.

Maux Dits [ Poésie ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant