Et derrière ce sourire se cache une profonde douleur,
Un masque délicat dissimulant la peur.
Chaque éclat de rire, chaque mot léger,
N'est qu'une danse pour tromper les regrets.Le monde voit la lumière, la façade polie,
Ignorant les ombres où mon âme se blottit.
Les souvenirs mordent, des épines invisibles,
Et l'espoir vacille, trop souvent fragile.Mais je souris, je tiens, je joue le rôle,
Avec des yeux qui, parfois, trahissent le fardeau.
Car il est plus simple de feindre la paix,
Que de montrer l'orage qui ne cesse de gronder.Sous le poids des jours, je suis tant de choses à la fois :
Forteresse et ruine, murmure et voix.
Et derrière ce sourire, si brillant, si serein,
Se cache une douleur qui attend le matin.