Cet étranger [SCP 035 x SCP 049]

5. La fin d'une pseudo-amitié

"A-Attendez Doc!! Je peux vous expliquer!" S'écriait le masque alors que Doc le tenait dans la main. "Il n'y a rien à expliquer. Vous ne m'avez rien dit, et vous comptiez clairement ne rien dire." ." Pourtant vous auriez dû le comprendre quand monsieur Jean m'a appelé 'le monstre'!"

Doc avançait dans la forêt, le masque dans la main, sa valise dans l'autre, Jean a sa suite. "J'ai dis à Bastien que je les aiderais. Je le fais.". "Mais !! Moi aussi je suis vivant je vous signal!! Et puis, si vous faites ça, il se peut que ça empire!!". "Dans ce cas je vous enterrerais. Vivant ou non.". "Vous n'êtes pas si cruel! Et dire que vous étiez si doux hier soir..." Soupira le masque, déçu. "Ne mentez pas, vous ne l'aviez jamais fait non plus.". "Uh-? Ug- bien sûr que si!". "Mais oui bien sûr.". "Si je le pouvais je vous donnerais une bonne claque!! Voilà !". "Mais vous ne le pouvez pas.". "C'est pas moi qui est sensé vous narguer a la base??"." J'ai trouvé l'endroit parfait!". "Hein?! Comment ça ?!". Doc posa le masque et ouvrit son sac et... En sortit une pelle. "Uh.... Comment c'est rentré là dedans?!" S'écria le masque. "Il me semblait que vous entriez dans la tête des gens. Vous devriez le savoir. A votre avis pourquoi je ne vous ai pas jeté contre un mur quand vous m'avez parlé la première fois.". " Vous  n'êtes pas normal hein? C'est comme ça que vous avez ramené monsieur Jean à la vie.". "Pour une fois que vous êtes intelligent.". "HEY!!! je ne vous permets pas!". "Et bien moi oui.". "Vous n'allez quand même pas m'enterrer !! S'il vous plaît !!". Doc ,une fois le troue finit, prit le masque et le regarda droit dans les yeux. "Adieu l'ami." Puis le laissait tomber dans la terre encore humide. "Doc!! DOC NON!!!". "Vous n'aviez qu'à pas me défier.". Doc reboucha le trou puis rangea la pelle dans son sac avant de partir avec Jean dans la ville suivante.

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2009, France, bourgade de Vézelay.

Doc prenait son café dans son salon, cahier de notes a la main, ses petits compagnons zombifiés, "guéris", traînant sans but dans la pièce. Il entend des bruits de pas dehors. Des hommes dans la trentaine, minimum 1m70 et 68kg. Il savait cela seulement au bruit des pas. Il avait appris à déterminer les gens dans les moindre détails. Il savait aussi qu'ils étaient armés, chose que Doc ne craignait point. Il s'assit sur son fauteuil et ordonna ses compagnons à se poster devant la porte.

D'un violent coup de pied, les hommes entrent, les zombies passent a l'attaque mais les armes à feu sont plus fortes qu'eux. Pendant ce carnage, Doc prend des notes, silencieux, regardant les hommes massacrer ses "amis". En parlant des hommes, ils étaient habillés de tenues militaires, avec un gilet pare-balle et un insigne noir et blanc. Une fois tout les zombies éliminés, les hommes pointent leurs armes sur le médecin.

"Rendez-vous et nous ne tirerons pas!!" Cria l'un des soldat. Doc finit de noter dans son carnet, le range dans sa valise et se lève. Les soldats reculent mais se préparent à tirer tandis que Doc lève les mains en guise de pattes. blanches. Les hommes lui mettent les menottes et l'emmènent dans un hélicoptère. 'Quel genre de policier sont ces gens?' se demanda Doc en s'asseyant sur les sièges très peu confortables de l'engin motorisé.

Mais où donc l'emmenaient-ils??

À suivre...