La nuit de Doc était mouvementé, des flashs, chuchotements. Les souvenirs du masques revenaient à nouveau le hanter. Cela faisait de nombreuses annees que Doc pensait à lui. Il ne l'oubliait pas , comme il le souhaiterait. Il avait peur, peur des reproches. Dans son esprit revenaient les images de cette nuit, cette nuit ou il avait enfin pu comprendre ce qu'il voulait... Cette nuit à entendre ce masque, à sentir son étrange aura, seul moment de symbiose qu'ils ont pu avoir. C'était aussi une premiere fois pour lui... Ce masque lui avait fait découvrir tellement de choses, dont une... Il n'était pas seul... Il n'était pas le seul à être bizarre ou inhumain...
Il se réveilla en sursaut, dans l'obscurité de sa cellule, transpirant. Ce masque était vraiment entré dans sa tête, c'est comme si ces souvenirs ne voulaient pas le lâcher. Peut-être qu'au final... Doc avait vraiment ressenti quelque chose pour ce masque dont il ne connaissait même pas le nom. Mais lui... N'avait peut-être jamais ressenti ce que Doc avait ressenti... Un sentiment qu'il ne connaissait que très peu... Même avec la femme avec qui il a eu un fils... Elle n'était que secondaire et Doc s'en voulait... Et dire que cette femme était... Maintenant morte... Son fils était quelque pars, ne sachant même pas qui était son père...
Doc soupira, il se leva de son lit, alluma la lampe de son bureau et relis ses notes. Il ne savait faire que ça... Il n'avait jamais su aimer correctement quelqu'un, il ne pensait qu'à son boulot, peut-être aurait-il besoin d'un meu plus de repos... Un peu moins de stresse...
Heureusement pour lui, il avait Kingfom, qui l'apprécie, qu'il apprécie lui aussi... Ce petit chat était bien le seul a le faire sourire... Mais s'il n'avait pas laissé la colère prendre le dessus, peut-être.... "Arrête de penser à lui, Doc ...." Chuchota Doc pour arrêter de ruminer. Mais les souvenir l'attaquaient, il senti une larme monter... Etait-ce... Le remort ....
À suivre...
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Cet étranger [SCP 035 x SCP 049]
Fanfic"Lorsque vous perdez un être proche, parce que vous l'avez voulu... la chose qui vous blesse le plus... ce n'est pas la perte, ni la solitude, mais les remords." Au temps où la peste fait rage en France, une ville est touchée par une épidémie de ca...