𝐋𝐨𝐮𝐢𝐬𝐞 𝐒𝐩𝐞𝐧𝐜𝐞𝐫 jeune fille de 19 ans à la fac de Cambridge à Londres vit un enfer ces dernières années,mais, face à la rencontre de nouvelles personnes, sa vie va être mise en danger sans le vouloir. Comment va se terminer cette histoi...
On est le 1er octobre, c'est mon anniversaire aujourd'hui, personne n'est au courant, appart Leo. Mais je ne veux pas qu'il me le souhaite, ça serait de l'hypocrisie.
Croit-il que ma vie est si parfaite ? Bouffon.
Nous nous sommes arrêtés à une supérette pour acheter quelques spécialités de Corée ; ils sont tous partis la bas, quant à moi, je suis resté avec Alhan. Je ne le sens pas ce gars, mais bon, je ne veux pas gâcher leurs vacances.
— On est revenu ! Crie Naeela, ce qui a pour but de me briser les tympans. — Arrête de crier, tu veux. — Axelou est aigri aujourd'hui ?
Axelou. Quel surnom pitoyable par pitié d'où lui est venue cette idée ?
— Non, juste fatigué de toi, Naeela. Dis-je avec un sourire malicieux.
Ça ne fait que quelques heures qu'on roule et je suis déjà saoulé. Nous avons atterri à 17 heures à peu près et il est maintenant 21 heure, il fait nuit noire.
Je suis derrière avec Louise et Alhan, quant à Naeela et Leo, ils son devant à mettre leurs musiques horribles.
Sérieux, c'est quoi ces goûts musicaux ? Nul. Louise tente à multiples reprises de me parler, mais je ne l'écoute pas. Enfin, je ne veux plus l'écouter, elle ne m'a même pas défendu.
Un peu plus tard, tout le monde s'endort et seuls Leo et moi sommes éveillés.
— Axel ? Me demanda-t-il hésitant. Mon silence est une réponse assez claire, mais il continue sur sa lancée.
— Tu... Comment tu t'es senti à la mort de papa ?
Pourquoi diable faut-il qu'il reparle de ça. Il m'énerve, argh.
— C'était dur, mais tu comprends j'ai une vie parfaite et je suis le grand frère, donc rien ne m'atteint.
Il comprend que j'ai tout entendu et il devint blanc sans savoir quoi dire.
— Ce n'est pas ce que tu crois. — C'était très clair, au contraire. Le contredis -je — C'est de ta faute, Axel. — Eh bien, c'est nouveau ça ! Tu crois que son addiction à la drogue était de ma faute ? Dis-je en haussant le ton.
Je vais craquer, je le sens.
— Es-ce que tu sais ce que je ressens ? — Arrête, rien ne t'affecte. — Qu'est-ce que tu me reproches ? Rétorquai-je. — La mort de papa tout simplement, tu es mon grand frère, t'aurais dû faire quelque chose, je ne sais pas, moi, tu as mal réagi, Axel, je t'en voudrais toute ma vie, tu as toujours eu l'amour de papa et maman !
C'est la goutte de trop.
— Je n'avais que 8 ans. Leo putain, mais comprends-moi, je t'en supplie comment étais-je censé réagir ? Je n'ai jamais eu le droit d'être aimé dans cette maison et tu oses me faire tants de reproches alors que tu as tout eu ! J'ai toujours connu uniquement la misère, et pour une fois que j'ai trouvé une source de bonheur, tu me l'enlèves !
— Bon sang, mais de quoi tu parles, Axel ! ? — Leana ! Je te parle de Leana.
J'ai les larmes aux yeux. Cette conversation a pris un tourment que je n'aime pas du tout.
— Qu'est-ce qu'il se passe ici ? Nous demanda Louise d'une mine fatiguée.
On l'a réveillé, putain.
Je ne veux pas qu'elle me voit dans cet état, alors je tourne la tête vers le paysage en essayant de retenir mes sanglots.
— Je vais m'arrêter dans quelques minutes, je suis fatigué. Qui prend le relai ? Déclare Leo d'une voix tremblante.
Naeela se propose. Leo s'arrête sur un petit chemin avec un grand pont et une vue magnifiques.
Je marche assez longtemps pour m'éloigner le plus possible et être tranquille.
Une fois seul, je pleure sans m'arrêter, qu'elle vie de merde.
Je ne comprends pas la réaction de mon frère, mais ce qui est sûr, c'est qu'il ne connaît même pas un quart de ma vie.
J'entendis soudainement une branche craquer derrière moi, je me retournai brusquement et quelle fut ma surprise quand j'appréciai Louise.
— Axel. Il fait que je te parle. — Je t'écoute.
Elle a l'air surprise que je lui adresse enfin la parole, mais bon, je ne peux pas l'éviter tous les jours.
— Je sais que tu as entendu notre conversation avec Leo, mais tu sais. — Arrête, je sais très bien. — Laisse-moi finir Ax.
Drôle de surnom ; mais j'aime. Ax et lou, ça sonne bien non ?
— Si je ne t'ai pas défendu, c'est que je ne savais pas quoi dire, je ne suis pas d'accord avec lui, pardonne-moi, s'il te plaît. — Je te crois, ce n'est pas pour ça que je suis distant, Lou. — Alors pourquoi ? — C'est. C'est mon anniversaire, ne te sens pas mal, je ne l'ai jamais dit à personne, seul Leo le sait.
Elle ne doit pas en vouloir. Je ne veux pas la faire culpabiliser.
— Oh. Désolé, eh ben... Bon anniversaire Axel. Me souhaite-elle écouter bégayant. — Merci. Dis-je avec un sourire discret.
Soudainement, de la neige tombe. Pitié qu'on ne reçoit aucun coup de feu nous !
Louise me prit dans ses bras sans aucune raison je sens juste qu'elle ferme les yeux et se détend, ce qui me fait plaisir. Elle a une dure vie, mais elle trouve toujours le moyen de remonter à la surface à tant pour ne pas se noyer.
𝒄'𝒆𝒔𝒕 𝒖𝒏𝒆 𝒃𝒂𝒕𝒕𝒂𝒏𝒕𝒆.. 𝒏𝒐𝒏.. 𝒄'𝒆𝒔𝒕 𝒎𝒂 𝒃𝒂𝒕𝒕𝒂𝒏𝒕𝒆
Même si je suis à ses côtés, je ne me sens toujours pas mieux, comme si je sentais que quelque chose de grave allait arriver.
Orh, t'étais toi, Axel, t'es pas un super-héros.
— On devrait rejoindre les autres. Me chuchota-t-elle ? — Ont y va.
Nous retournons alors vers la voiture où nous attendaient les autres.
— C'est pas trop tôt ! Se plaint Naeela. — T'es vraiment terrible, toi. — T'es pas mieux, Loulou ! — Arrête de m'appeler comme ça, pitié ! Se plaint louise
Elles ont vraiment une bonne relation quand j'y repense, il y a encore 1 mois, elles venaient tout juste de se rencontrer.
Nous nous remettons en route sous le ciel noir bleuté de la Corée les rues sont désertes. Bon après, il est bientôt 23 heures.
— Au fait, qui dort ou ? M'interroge Naeela. — Vous voulez déjà aller vous coucher ? Sérieux ? — Bien sûr que non, t'as rêvé ! Ont fait la fête ce soir, ta cru quoi, Axelou ?
Argh, ce surnom est tout simplement irritant.
— Justement un parc ! On s'arrête ici ? — Si tu veux. Réplique Louise à moitié endormie.
Quelle marmotte.
On s'arrête dans un petit parc et sort tous de la voiture pour aller s'asseoir sur un banc.
Il y a des arbres partout ; le lieu est splendide. Les feuilles sont oranges et un magnifique pont est à notre droite. Je n'ai jamais vu un tel endroit, on dirait un autre univers.
— C'est magnifique. Dit Louise admirative. — C'est l'heure de la dégustation ! Crie Naeela dans tout le parc.
Sérieux. Elle me fou vraiment la honte, mais il faut se l'avouer, elle apporte de la bonne humeur.
— La chips la plus piquante du monde ! — Que des conneris, je suis sur. — Goute alors, Axelou ! — Donne-moi ça.
Je résiste au piment ça ne me piquera jamais. Dracaufeu dans l'âme ici !
Je goûte alors la chips et du feu manque de sortir de ma bouche c'est quoi ce truc ?
— Alors monsieur ? ! Toujours pas piquant, hein ? Se moqua Naeela en rigolant à gorge déployée. — Du lait vite, du lait !
Elle me tend du lait, mais ça ne s'atténue pas je vais vraiment mourir, là qui a créé ce truc ? Ça vient du Diable.
Louise et Naeela se foutent de ma geule, en même temps que je suis en train de vider tout le lait.
Plus tard dans la nuit, vers 1 heure du matin, tout le monde dormait, à part moi et Naeela.
— Je peux te poser une question ? Me questionna-t-elle. — Bien sûr, va y. — Tout ça, ça, ça ne te fait jamais peur ? — « Tout ça ? » — Eh ben. Ce qui s'est passé l'autre soir avec cet homme, Andrews.
Je pensais qu'elle avait oubliée.
— Bah tout ça quoi, j'ai l'impression que la vie a pris une autre saveur. — Une autre saveur, mais pas une mauvaise, un air de notre vie s'est fini, mais un encore meilleur commence. — Comment tu peux le savoir ? — Ma vie n'a toujours été remplie que de misère et de tristesse.
— Je. Je vais aller dormir, bonne nuit, Axel. Dit-elle en me souriant. — Bonne nuit.
Je m'apprête à aller dormir quand j'entends quelqu'un arriver.
Je manque de m'évanouir. Comment c'est possible. Impossible. Elle... elle est là.
𝑸𝒖𝒊 𝒆𝒔𝒕 𝒂𝒓𝒓𝒊𝒗é ? 👀 Vos théories ? 🌚
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