Sang-pur

Chapitre 4

Il était maintenant 12h00. J'avais passé tout mon mercredi matin à éviter Ryan. J'avais aussi mis au courant Ethan à son propos et il était d'accord avec moi pour que je l'évite. Je rejoignis la bande pour leur dire au revoir.

-Ciao tout le monde. Gros bisous.

Un "bisous" collectif retentit et je partie en direction de mon bébé. Ethan finissait à 13h30 du coup il rentrerait plus tard que moi.

-Heu... Kate ?
-...
-Kate ! Sors de ta rêverie ! Je crois que ton bébé a une sansu collée à sa selle...
-Quoi ?!

Je relevais la tête et vu qui ? Ryan. Super, tous mes efforts de ce matin pour l'éviter venaient de tombés à l'eau. Youpi... Je me posta face à lui et lui fis mon regard qui tu, après tout personne n'a le droit de toucher à ma moto sauf Ethan.

-Lève tes fesses de ma moto !

-Hé, on se calme poupée.

-Premièrement je ne suis pas et ne serais jamais ta poupée. Deuxièmement je te demande pour la seconde fois de virer tes fesses de sur ma moto et de les mètre autre part si tu ne veux pas que ta tête aille faire une bisous au goudron.

-Ça pourrait être drôle...

-Oula, je vois que tu tiens à ta moto.

-Exactement alors maintenant bouge.

-Mais je bouge !

En me disant ça il avait placer ses bras au dessus de sa tête et il les agitaient frénétiquement.

-Tu te crois drôle ?

Ma remarque le fis s'arrêter et il dessendi de ma moto. Je le remplaça assez rapidement. À présent il me fixait et je n'aimais pas ça...

-Il y a un problème ? J'ai quelque chose sur le visage ?

-Non, tu m'évite.

-Pardon ?

-Tu m'évite. À chaque fois que l'ont se croisent dans les couloirs tu ne me calcule pas et tu tempresse de partir.

-Peut-être parce que lorsque l'ont se croisent la cloche à déjà sonnée et que on doit rentrer en cour. Et comme nous n'avons pas de cour en commun à part le français ont ne se déplacent pas vers le même endroit.

-Menteuse ! Mais jolie impro.

-Et pourquoi tu te dépêche à chaque fois ?

-Peut-être parce que je ne suis pas une abonnée des retards ?

Il se rapprocha dangereusement de moi.

-Je sais que tu m'évite ne cherche pas d'excuses.

-Je ne cherche pas d'excuse.

Il était trop prai, beaucoup trop prai. Je commençais à sentir son soufle sur ma peau. Il se rapprocha de moi et ces lèvres n'étaient plus qu'à quelques centimètres des miennes.

-Tu en ai bien sûre ?

-Très sûre, plus que sûre même.

-Mais qu'es ce que tu fou bordel ?! Il est beaucoup trop prai ! Repousse le !

Le problème c'était que je n'y arrivais pas... Tout chez lui m'attirait. Ses yeux, ses lèvre et même son odeure !

-Repousse le !!

Elle avait crier tellement fort que cela me sorti de ma mini transe. Je le poussa brusquement en arrière.

-Tu fou quoi la ?!

-J'allais t'embrasser avant que tu ne me repousse...

-Ok, on va mètre les choses au clair. Je ne chercher pas de mec et je n'ai pas besoin qu'un beaux gosse sexy essaye de m'embrasser ou quoi que se soit. Alors arête.

J'étais furieuse mais bisarement tout au fond de moi je savais que cela ne m'aurait pas gêner et que si Lidy n'aurait rien dit je l'aurais laisser faire. Tout un tat de sentiment que j'avais soigneusement refouler et placer derrière une sorte de mur imaginaire étaient en train de réfère surface et cela eu pour effet de me faire commencer à me transformer contre mon gré. Pas bon du tout puisque un groupe de première arrivaient vers nous.

-Beaux gosse sexy hein ?

Non, ce n'étais pas possible... Je lui avais vraiment dit ça ? Mince !

-Vas t'en s'il te plais.

Il fallait qu'il parte et moi aussi. Me transformer devant le lycée n'est pas une bonne idée seulement je ne pouvais plus stoper la transformation et le fait de la ralentir me faisait un mal de chien. Je réfléchie vite - peut-être trop - et ne trouva qu'une seule solution. J'allais le regretter mais tempi. Je laissais donc mon aura d'hybride sortir pour lui montrer ce que j'étais. Il ouvrit de grand yeux choqués.

-Merde ! Je le savais !

-Je vais...me...transformée. Ai-aide moi s'il t-te plait.

-Je ne sais pas trop... J'aurais quoi en échange ?

-Je ferais une chose que tu vou-voudra.

-Ok.

Il me pris en mode princesse et m'emmena à l'intérieur d'une salle de cour vide. Il me déposa sur une chaise et alla fermer la porte à clé tendi que je retirais ma veste et mes chaussures.