Au creux d'un trou que je me suis creuser, comme s'il s'agissait de ma propre tombe, je me refuge dans mes pensées aussi froide que le mois de décembre.
Ton visage est la seule chose que mes yeux peuvent voir dans le noir.
Les larmes coulent et tu n'es pas là.
Tu m'as mis au monde pour ne pas faire partie de ma vie.
Le pire dans tout ça c'est que tu me manques. Et je ne peux rien faire contre ce sentiment qui me dégoute.
Je ne devrais pas vouloir réparer ce que je n'ai pas briser... Ce que tu as brisé.
J'écoute les paroles de ces musiques, qui paraissent banales aux yeux de tous mais qui me font plus de mal qu'à toi.
Ma souffrance est la seule chose qu'il me reste de toi.
La mienne et celle de maman.
Que diraient-ils de toi s'ils étaient encore là ?
Oui je parles de tes parents, à leur noms.
Car je pense qu'ils ne seraient que trop déçus de leurs fils et de ses agissements.
Je te hais mais mon cœur lui t'aime et je le déteste de garder ces sentiments à ton égard.
Tu as détruit jusqu'à le dernier morceau du paradis qu'était mon cœur d'enfant.
Tu as anéanti mon amour propre.
Tu as perforer le cœur de ma mère.
Avec tes gestes, tes coups, tes regards, tes paroles, avec tout ce dont tu aurais dû te servir pour nous aimer.
Le miens s'est perdu de la même façon.
Tu nous as détruit et si je ne t'aurais pas eu comme père rien de tout ça ne serait jamais arrivé.
Je te hais.
Et la haine est encore trop pauvre pour décrire le sentiment que j'ai envers toi.
Ce n'est pas toi qui me manque. C'est un père qui me manque. Pas toi. Un vrai père. Un père responsable, véritable, soigneux, sain, amoureux de la femme qu'il a mit enceinte. Amoureux de son fils qui deviens, dès l'instant même où il le tiens pour la premiere fois dans les bras, la prunelle de ses yeux.
À cause de toi ma vie est orpheline, mes mots sont poignards, mes larmes semblent être constantes.
Quel était ton but final ? Détruire nos vies ? Nos avenirs ? Jusqu'à là dernière petite fleur qu'habitait le jardin que nous avions créer tout les deux maman, et moi ?
Car si c'est cela, tu as réussi. Félicitations.
La seule chose que je veux de toi à présent c'est que tu t'excuse de tout les malheurs que tu nous as causer.
C'est de te voir te morfondre et t'effondrer en mille excuses lorsque tu seras sur ton lit de mort.
Alors ne prends pas trop de temps de crever enfoiré.
Car ce jour là je serais en première file et je me delecterais de ta souffrance qui ne feras surement même pas le poids de ce que tu nous as fait.
Connard.
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Mon putain d'exutoire
Поэзия⛔ TRIGGER WARNING ⛔ - Dépression - 🦓🦓🦓 - Suicide - Solitude - Dépendance affective - Haine de soi - Borderline - Haine envers le monde entier. ⛔ Âmes sensibles s'abstenir. ⛔ «Juste un anarchiste des sentiments qui aimerait s'auto-détruire définit...
