Nuit.

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Blanc sont les draps,

Une couleur pure,

Qui se transformera

En la couleurs de ma chair.

Les heures deviennent dures.

Le silence brise les coeurs.

Et mon âme siffle sa rancoeur.

Pourquoi les draps sont-ils salis,
de peinture rouges?

Et cette douceur qui me ronge.

Lame finement aiguisée.

Qui entaille mes pensés.

Qui tire les deux parties de ma peau,

Et saigne en cadeau.

Peut être alors qu'à la prochaine entaille,

La mort m'attendra,
sur le pas de ma porte.

Et me prendra dans ses bras,

Peut être, qu'après tout,

La mort est la clé de la paix.

Alors si c'est le cas.

S'il vous plaît emmenez moi,

Au bout de la terre.

À six-pieds-sous-terre.

Afin que je redevienne moi.

Et que je fasses les bons choix


Aeden.

Mon putain d'exutoireOù les histoires vivent. Découvrez maintenant