L'histoire Véritable De Roméo Et Juliette

Chapitre 7 : La Détresse De Juliette

Soir du procès

Point de vue de Roméo :

- c'est fini je suis exilé ! Je ne reverrai plus Juliette... Ma vie est fini...
- Roméo poses ce poignard et sèches ces larmes ! Vie pour elle et pour ton ami d'enfance Benvolio !
- je ne peux pas mon père... Je ne peux pas vivre sans elle la sachant marié à un autre...
- elle ne se marira pas du moment que tu vie ! Enlève toi ce précieux cadeau et tu condamne la femme que tu aimes à se marier au Comte Pâris.
- veillerez vous sur elle mon père ? Sur ma douce Juliette ?
- tel est mon devoir en temps que représentant de Dieu mon fils ! Maintenant vas avant qu'il ne te trouve ! Cour !

7 jours après le drame et après les funérailles

Point de vue de Juliette :

- Mon père je vous en prie aider moi, au nom de dieu je vous supplie de m'aider.
- que ce passe-t-il mon enfant ?
- mon oncle veut procéder au mariage dans 2 jours...
- il ne le peut, tu es mariée devant dieu a Roméo !
- mais mon époux est en exil et de se fait considéré comme décédé dans cette ville... À quoi bon continuer à vivre s'il n'est pas à mes côtés ? Et je ne peux le rejoindre je suis sans cesse surveillé !
- je ne sais pas comment t'aider Juliette, laisse moi un peu de temps.
- merci tout de même... Au revoir mon père.

Je posai le poignard que j'avais manipulé tout au long de cette courte conversation mais au moment où j'allais repartir une idée me traversa l'esprit, je fit demi-tour et me saisi de l'arme blanche, si je ne pouvais être avec Roméo alors je ne serai avec personne !

- Juliette que fais-tu !
- Je ne peux vivre mariée à un autre ! J'aime Roméo !
- et ce dernier m'a prié de veiller sur toi en menaçant de s'ôter la vie ! Alors pose ce poignard ! Il y a peut-être une solution, mais se sera dangereux, il existe un poison qui pendant 24h te maintiendra dans un état proche de la mort, je vais prévenir Roméo et quand tu te réveillera vous partirez tous les deux. Tiens, prend là, bois la avant de te coucher.
- merci mon père ! Merci !

Et ainsi le soir, une fois ma lumière éteint et ma nourrice partit, je sortis avec précision le petit flacon de poison, je le dévissai et le portais à mes lèvres "a ta santé Roméo, mon amour, à nos retrouvailles, à notre vie heureuse à deux loin de cette ville maudit" et je versai le liquide dans ma bouche, il avait un légé goût sucrée, pas désagréable, j'avalai et aussitôt fut prise d'un froid glacial, je me mise à suffoquer, j'eus juste le temps de cacher le flacon sous ma table de chevet avant de m'effondrer sur mes oreillers, comme morte.

Point de vue omniscient :

La nourrice entra dans la chambre de sa protégée qui dormait encore, elle s'approcha du lit et fut frappé par la pâleur de la jeune Juliette, timidement elle posa une main sur sa joue, elle était glacial et ne respiré pas. La nourrice fut prise d'une violente crise de larme et couru vers la chambre de madame Capulet :

- madame... madame il faut que vous veniez... madame réveillez vous...
- enfin nourrice que se passe-t-il pourquoi es-tu dans cet état ?
- c'est votre fille madame, la pauvre enfant, Madame il faut que vous veniez vite !
- est-elle malade ? S'inquiéta la mère
- non pas vraiment madame... Venez...

Les deux femmes repartir en courant vers la chambre de la belle Juliette toujours aussi pâle dans ses draps ses cheveux étendus sur ses oreillers encadrant son visage:

- Juliette ? JULIETTE ! NON ! Ma fille, ma petite fille ! Juliette ma chérie non !
- que se passe-t-il ici ? Râla l'oncle de la malheureuse
- tu as tué ma fille à vouloir la marier ! Tu as tué ma Juliette !
- de quoi ? L'homme s'approcha, la pourriture ! Elle s'est suicidé ! Je vais faire comment maintenant moi sans l'arge...

Il n'eût pas le temps de finir sa phrase qu'une violente gifle le fit taire :

- ne l'insulte pas comme ça ! Elle était la digne fille de son père, amoureuse d'un Montague elle est la seule dans cette famille à t'avoir tenu tête et à avoir épousé celui qu'elle aime !
- elle sera mise dans le caveau familiale mais n'aura aucun autre hommage pour cela !
- espèce de salle con !

Le coup partit sans que la pauvre mère ne s'en aperçoive et les forces publique durent intervenir pour faire cesser cette violente bataille