chapitre 15 : le changement

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6 mois plus tard

Hôpital de l'académie

18h

PÉNÉLOPE FORD

je me reveille peu à peu, ouvrant mes yeux découvrant un plafonds, qui m'était inconnu, je me redresse légèrement, essayant de me relèver silencieuse et de comprendre ou je suis et se qui s'est passer avant que je n'atteint cette endroit, mais je ressent une douleur intenses au niveux de ma main. En essayant de la bouger, je remarque qu'elle est plâtré, c'est à se moment là, que je repris conscience de se qui c'est passer avant que je ne m'endors profondément.

J'avait était renversée par une voiture...

Les seuls visages que je me souviens avoir vu pour la dernière fois en étant dans un état de près inconscience, c'était Liliane et...

Red...

J'ai vu son visage inquiet, comme si il avait peur que je ne meur et que il ne me perd alors que pour lui je n'était  rien. Même si, on s'était embrasser, ce n'était qu'une erreur pour lui, par contre pour moi, ce baiser signifie plus que rien, pendant un instant j'avait cru qu'il pourer m'aimer...mais j'avait tord sur se sujet.

Je vois kevine entré. Pour les première secondes, il n'a pas aperçu que je suis réveiller, mais lorsque c'est fais et que ses yeux se pose sur les miennes qui viennent de se recouvrir et sont fatigué, les siens écarquille de choc, me regardant comme si il était entrain de voir un éléphant sans grande oreilles. Le bouquet de fleurs qu'il tennais en main, tombe sur le sol comme une feuille qui n'a pas d'importance et sans valeur. Je discerne sa bouche s'ouvrir en grand à cause du choc,  je ne comprend pas pourquoi il a cette expression,
Comme si je ne m'était pas réveillé il y a longtemps. Mais attends, c'est vrai, depuis quand je suis dand cette état endormi ici ?

Je me tourne vers lui, je voulais lui parler mais quand je m'apprêter à parler j'avait eu une certaine difficulté à le faire se qui n'était pas normal pour moi, à moins que je n'ai dormis plus que prévu.

Kevine s'approche de moi à petit pas, comme si il avait peur que je ne soit réellement réveiller ou autre. Il s'assoit sue une chaise à proximité du lit ou je suis à moitier allongé sur. Je voulais  me redressé plus mais sans ma main gauche je ne pouvais pas, surtout que je ressent des courbatures physiques et douloureuses, qui était difficile à suporter à force de bouger de plus en plus juste pour me place comme je le veux.

Kevine : putain...t'es vraiment éveillé ou je rêve ?

À ce moment-là, j'avais envie de rire en entendant cette phrase. Je fronçai les sourcils, amusé par l'absurdité de la situation.

Moi : donc maintenant tu rêve de moi ?

Kevine : la seule la femme dont je rêve toute les nuit c'est Dérine mais si ça te fais plaisir je fairait semblant pour toi.

Je ne peux retenir mon rire et mon sourir à l'entente de sa réponse
Remarquant que il aime Dérine sincèrement. Je suis heureuse que leur relation est devenue comme ça et s'est renforcé au fur à musure du temps.

Kevine : bon, je vais faire venir une infirmière et appeller les autre ok ? Reste ici et ne bouge pas simpatichnyy
(симпатичный).

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