ℛ𝒾𝓋𝒶𝓊𝓍, 𝒸'ℯ𝓈𝓉 𝓈ℯ 𝓆𝓊'ℴ𝓃 ℯ𝓈𝓉 𝓉ℴ𝒾 ℯ𝓉 𝓂ℴ𝒾 ℯ𝓉 𝓇𝒾ℯ𝓃 𝒹ℯ 𝓅𝓁𝓊𝓈.
Pénélope, méprisée par sa famille adoptive, se retrouve dans une école d'élite où elle est formée pour devenir une tueuse. Malgré ses quatre amies exceptionnelles, Li...
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Chapitre 2 : la rencontre
The Hills
By The weekend
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PRÉCÉDEMMENT.
Nous sommes allés dans la cour dehors où se trouvait une piscine, un jardin, un coin où on pouvait nous allonger et regarder des séries ou des films. La cérémonie se déroulera dans cet endroit magnifique et c'est aussi où on prendra le dîner ce soir pour fêter cet événement.
C'était magnifiques certe, mais froid, et j'avais oublier de prendre une veste avec moi.
Merde...
...
Nous entendions des pas venir depuis l'intérieur, lent, presque dominant. Il ne se presse pas, comme si il voulais nous faire savoir sa présence. L'air devient plus lourd, le silence règne à présent. Je détourne le regard vers la porte fenêtre où une ombre sombre se forme.
Je degluti, essayant de me préparé intérieurement. Pourtant j'avais quand même peur, cette présence si étouffante et dangeureuse ne peux être que celle d'un ennemi dangeureux, soit celle du Directeurs, ou celle d'un élève de son niveau.
Mon cœur bat la chamade, ce nouveau monde perspicace qui ne me laisse même pas le temps de soufflet quelque minutes m'etouffe les poumons. Je regarde mains qui tremble légèrement, je les serre pour arrêter le tremblements mais rien n'a faire.
La peur domine, elle prend, elle détruit et elle jette.
La jambe de ce dérnier pénètre le seuil de la porte, révèlent son identité imposante.
Des cheveux noir, un visage ferme prèsque vide, des habille élégant et noir, mais je peux voir un sourire se former sur ses lévres, malicieux comme amuser de la situations.
Il marche le long du jardin, dans la foule, et cette dernière lui laisse un espace suffisamment grand pour que une dizaine de personnes passe.
Ses mains dans ses poches de pantalon, ses pas toujours aussi calculé, il passe devant moi comme un vent, son odeur m'urine le nez, chaude mais sauvage. Il ne me regarde même pas, comme si je n'existe point.
Enfin arriver à la tête des élève il monte sur la scène et prend le micro, il soupire dessus, il nous fais attendre exprès, et ça l'amuse.
Il joue avec le micro entre ses doigts le bascule entre ses mains comme un simple ballon de basket-ball. Puis il le saisit fortement dans sa main droite et s'incline légèrement, une main placer dériére son dos, et se sourire malicieux maintenant devenu plus visible pour autrui.