chapitre 1 : changements radicale

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Chapitre 1 : Changement radicale

Her name

By Beneld

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- Pénélope, m'appelle ma mère à haute voix, tu vas commencer à travailler pour gagner de l'argent ; on ne va pas gacher notre argent pour toi toutes nos vies. On a parler avec ton père et tu vas commencer demain. Elle soupira, je la regarde intrigué, comme si mon avis pesé peu pour elle.

Je serre les points de culpabilité, de regret. Je me senter comme un chat qui doit obéir à chaqu'une de leur parole, sans jamais se soucier de mon avis, enfin ça c'est devenu nouveau après mes 16ans en tout cas. On aurai dis que j'ai tuer quelqu'un qui leur ai cher pour qu'ils sont devenu aussi brutale avec moi.

- Mais mère, je suis encore jeune pourquoi maintenant ? Et qu'elle est ce travaill que je ne connais même pas ?

- Qu'elle rabat joi ! Écoute, petite, je vais être clair. Fais ce que tes parents te disent, d'accord ? Je m'en fou de ton âge, et tu ne vas pas travailler tout de suite, tu vas passer 3ans à étudier ce métier pour commencer donc tait toi et vas faire tes bagages, tu a une demi heure pas plus ni moins.

Je soupire légèrement en baissant la tête, un neu se formant dans ma gogre comme si une main était entrain de m'etrangler. Je ne débat plus, car c'est totalement inutile. Je ne fairai qu'aggraver mon cas.

- Bien mére, accepte-je contre mon gré. Je monte dans ma chambre, et commence à emballer mes affaires une par une triste de partir et effrayer par le changement radical que je vais devoirs affronter, je prie pour que ce ne soit pas si dur.

Sans prévenir, la porte s'ouvre sur mon frère, il a un an de plus de que moi, et contrairement à nos parents, il ne m'a jamais aimer.

Il passer son temps à me rabaisser, à se moquer de moi, sans aucune raison. Peut être car à l'époque, ils m'aimer plus que lui, j'avais plus de privilège que lui, et j'ai grandi dans l'amour et l'innocence.

Je sais que ça n'a qu'était que une durer temporaire de plaisir, car avant, j'était dans un orphelinat misérable.

- Alors microbe, tu part enfin ? Me dit-il d'un ton moqueur en plaquant son dos contre le mur dériére moi. Je me demander quand ils aller se lasser de toi et de mètre à la porte, tu pue l'effroi commeles cadavre enterré six pier sous terre. Je serai enfin libérer de ta face de sorcière aussi, J'men réjoui, petite sœur.

𝐌𝐄 𝐓𝐎𝐎 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant