Ce qu'elle mérite

5 1 0
                                    

Arrivée en bas de son immeuble, je cherche son nom et sonne à l'interphone. Il a vu mon message alors j'attends patiemment qu'il m'ouvre en repensant à nos échanges de la veille et de ce matin. En me rappelant comment je l'avais rendu fou de désir avec des mots et quelques snaps plus que suggestifs, un sourire illumina mon visage.

J'aime trop l'embêter, me dis-je avant d'être sortit de mes pensées par la porte me criant que je peux entrer.

Je gravis les étages en un rien de temps et arrivai devant sa porte qui s'ouvrit avant que je n'aie le temps de frapper.

- Coucou ! dis-je toute sourire en lui volant un baiser

- Coucou, répondit-il en me renvoyant mon sourire. Tu as été plutôt vilaine ces derniers temps, tu ne penses quand même pas que je vais encore laisser passer ça ?

Il avait bien insisté sur le "encore", ce qui me fit sourire.

- Je ne vois pas du tout de quoi tu parles, dis-je faussement innocente.

- C'est ça oui.

Nous avions migré jusqu'à sa chambre où je déposais mes affaires. Je le senti venir dans mon dos passer ses mains sous mon haut à la recherche de mes seins. Une chaleur m'enveloppa immédiatement en sentant son érection contre mes fesses tandis qu'il commençait à torturer mes tétons. Je ne pus retenir un gémissement, les échanges du matin m'ayant déjà mise en émois.

- Je ne pensais pas t'avoir excité au point que tu te jettes sur moi à peine après m'avoir laissé entrer, riais-je en essayant de garder le contrôle de moi-même

- Oh toi tu vas prendre ce que tu mérites. Aujourd'hui la reine que tu prétends être sera ma petite chienne, ok ?

Il me parla d'une voix ferme et à ses mots mon entrejambe s'inonda. Jamais il n'avait pris les devants de la sorte et lui découvrir ce côté dominant suffit à briser mes maigres défenses. Une de ses mains quitta ma poitrine pour descendre dans mon pantalon, me caressant à travers ma culotte pendant quelques secondes qui passèrent bien trop vite à mon goût quand il me lâcha totalement.

Je me retournais d'un coup et le fixait.

- Tu joues avec moi ! grognais-je

Pour toute réponse il sourit en s'asseyant sur sa chaise de bureau.

- Déshabilles-toi et viens par-là, m'ordonna-t-il

Je m'exécutais sans poser de question. Les ordres ça m'excite et je veux voir jusqu'où il va aller dans ce petit jeu de domination.

Maintenant à quatre pattes devant lui, il me caressa la joue d'un geste tendre.

- Ouai t'es une jolie petite salope quand même, dit-il en enfonçant son pouce dans ma bouche que je suçais avec appétit.

Il rit et retira ce qui me séparait encore de son sexe.

- Suces moi.

À peine avait-il prononcé ces mots que sa queue fût emprisonnée dans ma bouche. Je léchais son gland et le suçais avidement. J'aime tellement son goût et l'entendre gémir sous mes assauts de langue. J'accélérai les va-et-vient, alternant entre ma bouche et mes mains.

- Oh ! Tu le fais si bien. Putain quelle bouche !

Il me caressa les cheveux avant de les agripper fermement et me forcer à le prendre en bouche. De plus en plus vite. De plus en plus profond. Avant de finir au fond de ma gorge.

- Avales bien tout, je sais que t'aimes ça.

Oui, pensais-je, et je veux aussi que tu finisses en moi. Tout ça m'avait terriblement excitée et une de mes mains s'était retrouvée entre mes cuisses à jouer avec mon clitoris.

Il le remarqua et me souleva d'un coup pour me mettre dos sur le lit.

- Oh non c'est moi qui vais m'occuper de toi madame.

Je gémis et écarta les jambes le plus grand possible, lui donnant un joli spectacle.

- T'es vraiment une salope.

Il se jeta entre mes cuisses où il joua avec sa langue. Mon corps se tortillait au rythme de ses coups de langues et mes gémissements se transformaient en cries. Il me fit atteindre l'orgasme et, sans me laisser le temps de reprendre mes esprits, il me pénétra d'un coup. Mes cries de plaisir résonnaient dans tout l'appartement tandis qu'il me pilonnait avec force. Une de ses mains enserra mon cou, me faisant perdre la tête en quelques secondes.

Oh mon dieu c'est si bon...

Encore...

Le seul son qui sortaient de ma bouche était son nom, haché par mes gémissements de plaisirs.

Il me donna orgasmes sur orgasmes pendant de longues minutes avant de s'effondrer sur moi lors d'un orgasme mutuel.

Je reprenais lentement mes esprits alors que sur mes joues ruisselaient des larmes de plaisir.

Il déposait de léger baiser dans mon cou en caressant mes cheveux.

- Ne te méprends pas, ce n'est que le début, dit-il en chuchotant. Tu seras ma chienne encore toute la soirée et toute la nuit.

Manges moi.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant