Chapitre 4-Le collège

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Un jour plus tard, après le week-end, je me dirige au collège. Encore un jour, de plus encore une horrible journée à supporter avec des vauriens. Ce sont tous des cons. Il n'en valent pas la peine. Ils me regardent tous de travers, et me lancent des regards noirs. Je ne peux m'empêcher de marcher tête baissée. J'arrive dans le couloir prend les escaliers pour monter en salle de cours. Quand un garçon au deuxième étages me crache dessus. Décidément on ne m'aime vraiment pas ici. Et derrière moi il y à foule. Ils me bousculent tous. En classe il ne peuvent s'empêcher de ricaner bêtement et me montrent tous du doigt. On me jette de l'encre dessus. Je n'es rien demander à personne. En plus je suis habillée en blanc aujourd'hui. À la cantine, je mange seule dans un coin comme d'habitude. Tout le monde est en groupe sauf moi. Je reçoit des boulettes de viandes, et de la purée dans les cheveux, une bande de fille rigolent, se moquent de moi, puis me jette un verre d'eau à la figure. C'est le carnage, mes vêtements blancs sont trempées et avec l'eau ils deviennent transparent. Je suis toute rouge, et morte de honte. Je ne sais pas se qu'il me veulent il sont tous contre moi. Je n'es jamais rien demander à personne. Vous comprennez quand je dit que je n'es pas d'amis. Vous me croyez maintenant. Ils me haïssent tous, et ce n'es pas nouveau. Depuis que je suis en 6 ème je subi ça, je ne sais pas pourquoi, je n'ai pourtant rien fait. À la recréation je retrouve mon casier par terre, et sur mon casier en gros il y avait écrit "fragile". Un garçon passe, puis me pousse dessus. Je tombe, mais je n'es pas mal. Je cours aux toilettes puis m'emferme à double tours. Le surveillant me retrouve et m'entend pleurer alors, j'ouvre la porte puis m'emmène à l'infirmerie. Je suis Traumatisée, et choquée, c'est la première fois qu'on me fait autant de coup de crasse dans la même journée alors je suis contrainte de rentrée à la maison. Puis dans ma tête, avant de pousser la porte de ma chambre je me demande.
Pourquoi m'en veulent t-il autant ? Qu'est-ce que j'ai bien pu leurs faire pour mériter tout ça ?
Alors je m'allonge sur mon lit, ne pense plus à rien, puis je m'endors.

Une vie briséeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant