Chapitre 1

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J'ouvre les yeux, il faisait déjà jour. Je tourne ma tête en direction du reveil , six heures quinze, encore dix longues minutes avant de sauter de mon lit. Le réveil se déclenche, pas le temps d'écouter la nouveauté des Maroon 5, j'attrape mon jeans, mon débardeur à fleur et fonce à la cuisine. Ma mère est déjà levé et me prépare mes cookies à la guimauve.

Ma mère : Bonjour ma chérie ! Joyeux anniversaire ma grande !

Moi : Merci maman!

J'embrasse ma mère sur la joue, j'attrape mon sac et je file en direction du lycée. J'aime ce moment matinal où je marche dans la rue, la musique dans les oreilles et je pense.
Arrivant au collège Mathilde me saute dessus. Elle c'est ma meilleure amie, celle qui est toujours la pour moi, nous ne sommes pas les ''populaires'', mais au moins nous sommes nous même.
On traverse le couloir pour rejoindre nos deux amis,en se racontant les potins du week end, mais ce n'est pas pareil que d'habitude, une sensation étonnantes s'éveil en moi, j'entends des voix, non pourtant je ne suis pas folle. Tout se bouscule dans ma tête, je regarde autour de moi, tout le monde me fixe.
Je ne sais pas quoi faire, je cours en direction de la sortie, aussi vite que je peux, je bouscule une dizaine de personne. Une fois dehors tout s'arrête , d'un coup, toutes les voix se taisent.
Je reprend mon souffle quand j'entend :

?? : Hé gamine !

Je relève ma tête et j'aperçois en face de moi, Jules, Jules Issère. Le basketeur du lycée, le gars dont toutes les filles rêvent, il est grand, muscle juste ce qu'il faut, cheveux maron comme les noisettes et les yeux vert comme les miens ! Un silence gênant s'installe.

Meason : Oh oh ! Me reçois-tu ? Ça va Miss ?

Moi ( légèrement sous le charme) : Très bien, tout va bien

Je commence à partir en direction de chez moi.

Meason : Qu'est ce que tu fais ?

Moi : Ça se voit pas ? Je rentre chez moi, aucunes envies de retourner là bas.

Meason : Et c'est quoi ton petit nom ?

Moi : Alia, mais n'essaye pas, je ne suis pas ton genre.

Jules ( en me barrant la route) : Ah, et quel est mon genre Pauline ?

Moi : Les suportices bien foutus de basket qui se dandinent sur le terrain à la mi-temps.

Moi je suis petite, très formé , même un peu trop, les poignets d'amour et tout le bordel.

Meason : Je te verrais bien en jupe sexy tu sais !

Moi : Barre toi !

Meason : Je peux te raccompagner ?


Moi : Ce n'est pas ton chemin, je te conseillerais de retourner en cours.

Je pars en direction de chez moi, et il abandonne, tourne les talons vers le lycée et part.
Alors je marche, en pensant comme toujours, mais la c'est plutôt à ces étonnant phénomène dans le lycée, je m'interroge: que m'arrive-t-il ? Je n'en sais rien mais je vais le découvrir.

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