Pokémon : l'ascension du héros !

Chapitre V - Le Mont Sélénite. [2/2]

Cinq minutes plus tôt nous étions en train de combattre deux admins Rocket. Maintenant, nous nous retrouvions seul dans une salle plus grande. Nous allions nous séparer en deux groupes : Ayse avec l'agent Christelle et moi avec un certain Thomas et un autre dresseur soit disant talentueux. J'allais déjà découvrir un nouveau champion d'arène ? De toute façon tout allait trop vite, je commençai à réellement perdre mes moyens.

« Ayse c'est bon, le poison est parti. Maintenant partons, il faut faire vite. »

« Oui c'est vrai. Tu vas devoir partir à Azuria au Centre Pokémon pour faire une analyse car le poison de Nidoking, comme l'a dit ce Soufiane, peut être mortel. Le dresseur t'y amènera, et ça ne sert à rien de me mentir un antidote ne met pas si peu de temps à agir mais je dois y aller je vais faire le ménage et ouvrir le passage qui mène à Argenta. Tu possèdes le badge Roche, tu es donc capable de faire de grande chose Rayanne, ne l'oublies pas ! »

Comment savait elle que je n'avais pas retrouvé la totalité de mes capacités ? Les champions d'arènes étaient tous comme Ayse ? Mes futurs combats seront difficiles dans ce cas. Bref, Ayse était partie et je commençais à longer le mur pour rejoindre Thomas. Sauf que... Un petit problème était présent : où était il ? C'était bien beau de prévoir des rendez-vous enfin bon.

Je m'enfonçais dans les ténèbres de la grotte dans le but de voir le champion d'arène. J'étais désormais devenu le maillon faible du groupe : on allait quand même arrêté l'opération du Mont Sélénite pour moi... Bon, après avoir marché quelques minutes j'arrivai dans une nouvelle salle. Cette fois ci il y avait l'agent Christelle en plein milieu avec, adossé au mur, une multitude de sbire de la Team Rocket. Certains qui étaient allongés en plein milieu de la pièce avaient des menottes. Elle les avait battu à elle toute seule ? En tout cas, l'agent de la police était toujours sur son Arcanin.

« Rayanne ? Thomas et le jeune homme qui a un Goupix sont à quelques mètres. Tu iras à Azuria avec le garçon car un de ses Pokémon est mal en point. Désolé je dois en terminer, de notre côté on a battu tout le monde donc tu ne croiseras personne. Bye bye ! »

Je n'avais même pas eu le temps d'en placer une de Christelle était déjà repartie. Son Arcanin était rapide, c'était incontestable. Bref, je repris ma marche, tout en douceur pour ne pas tomber comme un idiot par terre. Plus je marchais, plus je voyais de lumière. J'étais arrivé à la sortie ? Non. C'était simplement qu'il y avait quelqu'un qui éclairait. Enfin quelqu'un, je voulais dire...

« Yop Rayanne ! Comment tu vas ? Attends j'vais t'aider, arrête de marcher. On va direct au Centre Pokémon, désolé Thomas. Viens Rayanne ! »

« Dard venin. »

Hein ? Alors qu'Alex était super avec moi, alors qu'habituellement il était plus antipathique, une attaque vint mettre K.O sous mes yeux son Pokémon qui était de type feu, un Goupix si mes souvenirs étaient bons. La personne qui avait lancé cette attaque était sans aucun doute Soufiane. Rachel était elle avec lui ? Thomas, ou du moins la personne qu'Alex avait appelé ainsi, sorti une pokéball pour envoyer un Florizarre, la dernière évolution du Bulbizarre. Je connaissais le Pokémon car le Professeur Mohammed en possédait un. La dernière évolution de Bulbizarre, après avoir écouté son dresseur, utilisa une attaque Lance Soleil en direction du plafond. On pouvait enfin y voir quelque chose ! Alex avait remit son Pokémon dans sa Pokéball et le combat final allait pouvoir commencer.

« Rayanne, je n'ai pas fini de m'occuper de toi et de tes Pokémon. Reviens ici sans trop parler pour qu'on en finisse. Sinon c'est ton pote là bas qui va prendre à ta place. »

« Non. Florizarre occupe toi de lui, utilise Zénith. »

Une forte lumière venait de nous frapper. C'était le soleil qui, je ne savais pas pourquoi, était devenu beaucoup plus fort. Peut être que c'était l'effet de l'attaque Zénith... Alex n'avait plus de Pokémon et moi il ne me restait plus que mon Ptitard. J'allais faire comme ça :