( Zara Larsson- Uncover , à écouter avec le chapitre. )
-Avant que tu meurs tu as vus quelqu'un d autre avec toi?
-Oui il y avait une jeune fille, elle devait avoir ton âge et..... ( il fit une pause ) elle te ressemble beaucoup!
-Mélodie.... murmurais-je
La simple évocation de son nom me plongea dans une nostalgie fracassante.
Je ne savais même pas si elle se souvenait de moi!-c'est ta jumelle n est-ce pas?!
Je me rendis compte a cet instant que j'avais sous-estimé l' intelligence de Antoine
-comment le sais-tu?
-Lisia... je commence à te connaitre! Tu aurais vu ta tête!
Je n'avais plus l'habitude de cacher mes sentiments, puisque jusqu'a maintenant personne ne me voyaient !
Je me demander a quoi je ressemble à présent, un mois sans me voir! Je devais ressembler à un zombie!Antoine.... je ne sais ce que je ferais sans lui, la solitude commençais a me peser!
Pendant que j'étais dans mes pensées, Antoine me détailler de la tête aux pieds, j'étais si laide que ça !?-Je ne t'ai toujours pas demandé ton nom de famille?!
-Clarisson et toi?
-Cegarra.
-C'est joli!
-Merci, bon trêve de bla-bla! Il faut trouver un plan, tu as vus le visage de ton agresseur?
-Ben.....
-Attends! Tu veux dire que tu cherches un homme qui t'as tuée et tu ne sais même pas qui c'est!!! Dit-il en criant â moitié
C est vrai que je n avais jamais pensé à ça!
-Ben.... oui...
-Lisia Clarisson tu me déséspere!...
-Je pense que te donner mon nom de famille n'est pas la meilleure idée que j ai eux!
-Raaahhhhh!
-bon, ce n'est pas que cette discussion m' ennui, mais ils nous faudraient peut-être un plan!
-Non, sans blague, ILS NOUS FAUT UN PLAN! Dit-il avec sarcasme.
-les sarcasmes ce n' était pas obligé! Dis-je en feignant de bouder.
-je fais se que je veux!
- Et toi tu l' as vu? Dis-je soudainement
-.....non..... dit-il, gêné
- Et après c' est moi qu' on engueule!
-Ho c' est bon !
-Tu le chercher déjà avant qu' on ne se rencontre?
-Ha vrai dire, non. J' ai juste chercher le paradis.... dit-il dans un souffle.
Un blanc s' installa entre nous.
- Ha... toi aussi.
-tu sais... commencçais-je
-Oui je sais!
Il avait martelé cette dernière phrase avec colère et tristesse.
-Le paradis n' existe pas!
Nous avions le même désire de vengence et la même quête : Celle de la paix éternelle.
N.