Il était une foi un petit lapin. Il était très mignon, mais pas très gentil, il se moquait des faibles et de ceux qu'il n'aimait pas. Mais pour lui rien de tout ça n'était grave il croyait bien faire, personne ne lui avait jamais dit que ce qu'il faisait était mal, il voulait juste rire avec eux, mais ne savais pas s'y prendre. Il faut dire, il n'avait pas de parents, et depuis tout petit quelques enfants se moquaient de lui, et lui ne comprenant pas, il pensait que c'était comme ça que riaient les amis entre eux. Mais en grandissant il se rendit compte que tout cela n'était pas tel qu'il le pensait... Quand les gens disent des choses méchantes, ils ne le disent pas pour rigoler, mais bien pour blesser.
Il compris cela notamment un jour ou plusieurs de ses "amis" le pourchasserent dans un champ désert, pour lui cacher les yeux, l'attacher et le taper. Ils ne partirent qu'après l'avoir roué de coups plus violent les uns que les autres, il le laissairent pour mort au milieu de ce champ très vaste, il pleurait...Quand tout à coup, il y eu de grandes flammes dans le champ, elles n'étaient pas aussi brillantes que les flammes qui brûlent dans la cheminée, elles étaient plus... Sombres, elles éclairaient tout autant, mais elles étaient différentes... Le petit lapin n'était pas effrayé, loin de là il était hypnotisé par cette apparition. Puis sans crier gare, un corbeau gigantesque sorti des flammes, qui disparurent à son contact.
Il était grand, et magnifique, il inspirait la confiance, il était rassurant. Quand il le vit, le lapin n'eu plus envie de pleurer, il était en admiration devant ce grand oiseaux.
Quand le corbeau pris la parole, le lapin fu étonné de la douceur de ses propos. Le corbeau lui demanda ce qu'ils lui arrivait, et le lapin raconta tout, de la mort de ses parents, en passant par les moqueries, jusqu'au passage à tabac... Le corbeau l'avais écouté sans l'interrompre une seule fois, il était doux avec le lapin et lui demanda:
"Quel serait ton voeux le plus cher ?"
Le lapin, surpris, réfléchit un instant avant de répondre :
"Ce serait d'avoir de vrais amis, pas des gens qui font semblant, des gens qui viendrait faire la fête avec moi... "
Le corbeau afficha un grand sourire, bien qu'il possédait un bec..., et lui dit:
"Je peux exaucer ton plus grand souhait, mais seulement contre quelque chose que seul toi possède, et que seul moins peu te prendre. "
Le lapin avait beau demander ce que c'était, le corbeau lui répondit qu'il verrai le moment venu. Puis le lapin accepta, le corbeau lui donna un cadeau signe qu'il tiendrai parole, il posa sur sa main un sceau, une étoile violette, qui luisais légèrement.
Lors ce qu'il le reçu, le lapin retentit une légère douleur la ou le corbeau avait dessiné son étoile puis une brûlure, puis plus rien. Le corbeau lui dit d'aller préparer sa fête, pendant qui lui allait chercher des "amis ".
Pour la fête, le lapin avait tout prévu, la nourriture, la musique... Il faisait ça dans sa propriété, donc dans un grand lieu, il avait décoré comme jamais, il avait mis des guirlandes des lampions ainsi que plein de choses.
Quand le corbeau arriva, il avait à sa suite, tout les jeunes du village. Le lapin trouvai tout ces animaux absente, le regard vide, ils avaient tous, sur le front, une étoile semblable à celle qu'avait le lapin sur le dos de la main. Mais il pensa que c'était juste une sorte de laissé passé, et n'y prêta pas attention. Tout au long de la soirée, il profita, de ses amis de l'a vie...
Au matin le corbeau réapparu de la même manière que la précédente, mais cette foi, il n'avait pas l'air aussi gentil, et doux. Il arborait une mine ravi, une mine qui ne rassurait pas le petit lapin, qui tenta de fuir, mais la marque sur sa main, l'en empêcha, son corps partait, mais sa main restait fixe à son point de départ.
Soudain il ressenti une douleur insoutenable, c'est comme si il brûlait de l'intérieur. Puis le corbeau se jetta sur lui, ses serres déchirèrent sa chaire, dans des rainures de lumière. Le lapin avait l'impression d'exploser de l'intérieur, la douleur le fit hurler, il n'en pouvais plus, puis plus rien, il ne restait que le corps sans vie du lapin, qui au bout de quelques minutes s'évapora, ne laissant que le corbeau dans cette pièce, qui lui même disparu dans un tourbillon de flammes sans un bruit.
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Cette histoire, je l'ai écrite le soir d'halloween, j'avais une fête avec des amis, mais mes parents ont choisi ce moment, pour partir loin dans le "sud " (le cap ferret)
Bref je m'ennuyais... Et le dessin à été fait vite fait, avec les moyens du bord (un crayon IKEA et feuilles de devoir de maths)
Voilà pour la petite histoire (que personne n'en a rien à faire...)