chap 2

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corigé

Quand je reprend a peu près conscience la chaleur m'enveloppe me laissant un sentiment de béatitude et de plainitude. Aucun problème ne peux m'atteindre, je suis dans un nid de douceur. Les yeux toujours fermés je savoure cette sentation, mais je sais qu'elle n'est pas la réalité.
Et soudain cette réalité me rattrape, mon frère, ma mère. Je ne peux me résoudre a les quitter, quelque soit l'endroit où je me trouve en ce moment, je me dois de le quitter en vitesse. Je ne peux pas abandonner et me laisser mourir aussi facilement.

Alor, rassemblant toute mes forces, je battaille contre ce paradis. Je m'arrache a ce rêve, et, quand la chaleur disparaît complêtement je me sent chutter.



Quand je me réveille je suis dans une chambre d'hôpital. La lumière de la fenêtre m'aveugla pendant un moment mais mon inquiètude par rapport a ma famille l'emporta sur la douleur de mon réveil brutal.

Prevenu par l'infirmière qui etait là a mon reveil, un médecin arriva pour m'ausculter, une fois cela fini, un visage sans emotions s'empara de ses traits.

Je m'attendais au pire.

Et sans que je ne puisse rien n'y faire il prononça LA phrase que je redoutais le plus. Ma famille n'avais pas survécue. Ma mère était morte sur le coup et mon frère était dans un coma d'une durée indéterminé.

Il me rassura et m'assura que tout se passerait bien et que je serait placée dans une famille d'accueil.

Il disais cela comme a quelqu'un a qui on refusais un travail. Il me disais que tout allait bien se passé mais il n'en savait absolument rien. Lui aprés le travail allais surement retrouvé sa famille, sa femme et ses enfants. Luxe que je ne pouvais plus me permettre maintenant que je n'avais plus personne. Ce médecins était un idiot.

La rage s'empara de moi. Comment osez t-il? Je les haïssez, ils n'avaient pas sut les sauvez, les personnes les plus chères a mes yeux était mortes par leurs imcompétance.

Je me retourna, leur faisant dos.

Je ne pouvais plus les voirs une seule secondes de plus. J'étais dégouté. J'entendis la porte se fermer signe qu'il avaient quittés la pièce. Et, j'éclatais en sanglot

-ellipse d'une semaine-

Après une semaine d'examen, de test médicaux pour vérifier que je n'avais rien et de recherche d'une famille qui voulait bien de moi. Les médecins me laissèrent enfin partir.

Ma nouvelle famille : les Killers , m'attendaient à l'accueil. Elle se composait de Élise killer :ma nouvelle "mère", Jack Killer mon nouveaux "père", Matt mon nouveau "frère" et Gwendoline ma nouvelle "soeur". Tout ce que je pus leur faire fus un sourire des plus forcé. Je n'avais pas le coeur a être gentille et joyeuse. J'avais perdu ma vie il y'avais a peine une semaine.
Ils devraient s'en contenter. Ils n'était que ma famille de remplacement, si mon fr... non, Quand mon frère se réveillera je partirais et irais vivre avec lui.

Les présentation faîtes, ils prirent les quelques affaires que j'étais allée chercher chez moi accompagnée d'une infirmière. Ça n'avais pas étais une partie de plaisir! Dès que j'étais rentrée tout un tas de souvenir avais ressurgis et j'avais tout fais pour me contenir jusqu'a ma chambre. Mais dans celle-ci j'avais craqué et j'avais quémandée a l'infirmière de me laisser seule quelques instants.

Dans la voiture qui m'enmenais a la demaure des Killers, j'avais beaucoup réfléchis. Ma mère n'aurais pas voulue que je me renfèrme comme ça. Elle, elle étais resté forte suite a l'internation de papa. Et je me rendais seulement maintenant compte du tour de force qu'elle avait dût faire.

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