chap 4

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Corigé

A : comme on se  retrouve la cinglée!

Moi : Qu'est-ce que tu veux?

A : Moi? Rien du tout je veux juste te parler!

Moi : Et t'as trouver que " comme on se retrouve la cinglée!" Pour m'aborder?!

A : Ba ouai.

Mon dieu faites lui grâce d'un cervaux je vous en prie!

Moi : T'es vraiment con ma parole.

A : Oh! Calme tes hormones je voulais juste détendre l'atmosphère te met pas dans cet état!

Moi : Désolé, je suis juste un peu... a cran.

Surtout avec cette histoire d'enfant mort...

A : Je vois sa... D'ailleurs, pourquoi t'es partie si vite la dèrenière fois?

La sonnerie rententie.

Sauvez par le gong!

Moi : Je dois aller en cour.

A: Atte...

Moi : A plus!

Je rentrais dans ma salle avec précipitation et c'étais partis pour un ennuyant cour de français...

****

Respire. Inspire. Respire. Inspire

Je me repètais ce mantra silencieux dans ma tête. Le cour n'avais commencé que depuis trente minutes et j'avais déjà une sentation désagréable de nausé.

Je m'obligeai a respirer corectement. Pourtant c'étais de pire en pire.

Quand je sentis que je transpirais a grosse goutte et que mon voisins me regarda de travers car je respirais très bizarrement. Comme si j'allais accouché. Je leva la main demandant a sortir de la salle.

Je me dirigea jusqu'aux toilette des filles et m'accrocha fortement au lavabo. Dans un spasme je vomis mon petit déjeuner.

C'étais dégeulasse. Et je ne m'arrêttai pas la non. Mon ventre se contracta encore et encore. Tout a coup des gouttes de sang sortir de ma bouche et je toussais.

J'écarquillais les yeux. Ça ne m'étais jamais arrivé avant. Ma gorge me brulais atrocement et moi je toussais... du sang. Je saignais abondament. Mes yeux s'embuèrent et je pleurais de nervosité.

J'avais juste envie de crier.

Que m'arrivai-t-il?

Je bus de l'eau pour me laver la bouche. Mes cheuveux étais poisseux de sang.

Je pourrais jamais retournais en classe dans cet état.

Je me regarda longuement dans le miroir face a moi et il me sembla que mon reflet commençais s'effaçer.

Oui, mon reflet avait complètement disparut. A la place se tenait Eliot. Il me regatdais inquiet.

E : Clary? Tu es malade?

Moi : Oui un peu mais ce n'est rien. Juste une grippe passagère je suppose.
Tentais-je de le rassurer autant que moi même.

...: Clary tu fais quoi?

Aiden.

A: Qu'est-ce qu'il se passe tu parle a qui?

Je regardais le miroir Eliot était toujours là.

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