L' enfer psychologique

Le début de l'histoire

Trois semaine, je suis en compagnie de Maxime, à l'appart. Nous regardons tranquillement un film quand mon téléphone se met à sonner, je reçois un texto d'Alice, ma meilleure amie. Elle ne va pas bien, elle me demande si c'est possible d'aller la chercher, afin qu'elle puisse passer la nuit à l'appart , histoire de se changer les idées. Alice est ma meilleure amie depuis l'enfance, nous avons fait les quatre cent coup ensemble. Elle a toujours été la pour moi et vice versa. Elle a besoin de moi et je suis la, j'ai toujours été la, elle le sais. Je fait part du texto à mon compagnon et nous décidons d'aller la chercher bien que malgré tout, sa ennuie un peu Maxime. Je n'y prête pas vraiment attention, c'est ma meilleure amie et c'est tout. Ce qui l'ennuie, en réalité , c'est que Alice n'habite pas tout près. Nous en avons pour une petite heure de route. Qu'à cela tienne, nous nous mettons en route.

- Arrete toi à la pompe -me demande t'il- tu veux quelque chose à boire?
- Un soda s'il te plaît
Il sorta de la voiture , marcha vers la pompe à essence et y ressorti quelque minute plu tard, soda et bière à la main. Je soupira.

Nous reprenons la route et arrivons une demi heure plu tard chez Alice . Nous rentrons, je fais les présentations Alice et Maxime. Alice me propose un petit remontant, ce que je ne refuse évidemment pas. Elle me parle de ce qui ne vas pas, me parle de ses malheur, ses problème, sa tristesse. Cela fait maintenant une bonne heure que nous sommes là, il se fait tard et je travail le lendemain.
- Bon, Alice, on y va?
- Je me sent mieux, je vais resté chez moi
- Tu te fou de moi? Je me suis tapée une heure de route à cette heure ci pour venir te chercher hors que je travail à 6 heure tout à l'heure. Il est bientôt minuit, Alice !
- Oui je sais ... Désolée. Mais au moins je t'ai vue, chérie.
- j'aurai su, je serai venue demain dans ce cas !
Il faut dire que ce n'est pas la première fois qu'elle me fait ce coup là. Je décide donc de repartir, énervée mais compréhensible malgré tout.
- Aller, à plu tard alors - Dis je
Nous reprenons la route vers Paris .

Sur la route, mon compagnon, plu énervé que moi me fait, autant dire, regretter de m'être déplacée pour rien :
- C'est grave quand même, elle te demande de venir et au final madame decide de resté chez elle !
Et il monte dans une colère des plu incompréhensible.
Arrivé à l'appart, il ne décolère pas. Il s'énerve, hurle, deviens de plu en plu agressif. Je me défend en m'énervant comme lui le fait, je crie :
- Arrête de t'en prendre à moi, je n'y suis quand même pour rien si elle a décidé de ne pas revenir avec nous !
Sa crie, tout cela pour absolument rien. Je suis fatiguée, je voudrai dormir mais il ne lâche rien aussi haineux soit il. Il rejette sa haine sur le mur, il y balance un coup de poing qui y crée un trou et enfin, il est calmé.
- Tu le fait exprès bordel c'est mon appart, c'est toi qui va payer ?
- Je le reboucherai.
Il se tait, je fait de même. Je vais me coucher, choquée de sa réaction mais fatiguée de ma journée.

Cinq heure, le réveil sonne. Aussi étonnant soit il, je me réveille dès la première sonnerie. J'ai le sommeil assez lourd et à généralement besoin d'une fanfare pour me sortir du lit. J'éteind mon réveil et me lève,  cheveux en pagaille, yeux à la limite collé. Je suis encore un peu choquée de la veille. Je sors de la chambre sans trop de bruit car Maxime dors encore. Il a lui,  le sommeil très léger.  Je me prépare un bon café, allume une cigarette. L'indispensable pour moi pour bien commencer la journée. Zoé , elle, est déjà bien motivée. Elle me suis en direction de la salle de bain, toujours avec son interminable baballe à la gueule, motivée comme toujours.
- Pas maintenant Zoé !

Je me rafraîchis à l'eau fraîche au lavabo, m'habille et termine par me maquiller. Je porte un simple training ainsi qu'un tee shirt, j'en juge plus à l'aise pour mon travail et cela est bien sûr autoriser par mon entreprise, d'où le faite que je me permet d'en porté. Je suis technicienne de surface dans un grand centre commercial. Je suis en contrat à durée déterminer, je fait mon possible pour y avoir ma place fixe, l'annonce de mon CDI m'empresse avec hâte. Mais les temp son dur, il faut persévérer et prouver que l'on en veux. Enfin, je ne suis pas du genre à baisser les bras, je le veux, ce contrat!  Mes patrons son content de moi, il me font régulièrement de nombreux compliments. Ce qui, bien entendu me permet de montrer encore plus ce que je vaux. Mon travail consiste évidemment à nettoyer le centre commercial mais pas que cela. Le centre commercial possède également un bar à cocktail qui s'y trouve juste à côté. Je suis donc chargée d'y aidé au nettoyage, la vaisselle mais tout aussi préparé et servir les cocktail quand un serveur est absent. Et comme cela arrive souvent, disons que je me considère comme technicienne de surface - serveuse. Et alterné les deux boulot, c'est pas toujours évident. Mais dans ce cas de changement je ne travail bien entendu pas en training, une tenue est réservée à mon nom pour cet effet. Bref, j'aime ce que je fait.

Je termine de me préparé et entend de la chambre un soupirement. Maxime est réveillé, j'ai sûrement dû le sortir du sommeil en me préparant. Qu'à cela ne tienne, il faut bien que je me prépare !

- Déjà levé ?  - lui demandais je sur un ton un peu crispé
- Oui ...

Il me dis Bonjour et m'enlasse :
- Je m'excuse pour hier -dis t'il un peu gêné - je t'aime je veux pas te perdre
- C'est pas grave -je lui répond en mentant un peu. Tu pourrai sortir Zoé tout à l'heure s'il te plaît?  Il faut que j'y aille, je vais être en retard.
- Oui t'inquiète pas. A tout à l'heure.
- A tout à l'heure. Je t'aime

Je pris soin d'embrasser ma chienne avant de partir.

Midi, l'heure de table. Nous décidons, moi et mes collègues de passer notre heure au snack, à quelque minute du centre commercial. On y mange bien et les durum son d'un délice ... j'adore !
- Quel voiture on prend? Demandais je
- La mienne - répond Vincent

Sur le trajet, je passe un appel à Maxime qui lui, est à la recherche d'un emploi :
- Allô mon coeur, je suis en heure de table, j'en profite pour t'appeler. Tout vas bien? Tu as sorti Zoé?
- Oui tout vas bien, j'ai sorti le chien et la je suis en balade avec des potes.
Ses potes ... Et j'imagine donc le désastre avec sa fameuse meilleure amie, sa bière !
- Bois pas trop hein !
- Mais non ne t'inquiète pas. Tu dîne seule?
- Non non, avec Vincent et Théo, on est sur la route nous allons manger au snack.
- Des mecs ...
- C'est mes collègues !
Maxime est quelqu'un de très jaloux, il n'as aucune confiance en lui. Il m'as confier, quelque semaine auparavant que son ex l'avais trompé à mainte reprise, d'où son manque de confiance. Enfin, j'imagine ... soite, cela n'est pas une raison, nous ne sommes pas toute pareil. Hélas,  il n'est pas que jaloux mais sa, je le comprendrai et le constaterai plu tard ...
- Tu as fait tes recherche d'emploi?
- Non, je le ferai tout à l'heure .
- Mouais ... bon, je te laisse, nous sommes arrivés.
- OK, bon appétit je t'aime.
- Merci,  moi aussi.

Nous rentrons dans le snack et passons commande, allons nous installer en terrasse. Nous passons notre heure à discuter , celle ci passe tellement vite qu'il est déjà l'heure de reprendre la route vers le boulot. Mon durum fût excellent.

15h, la fin de la journée s'annonce. Mes horaires sont variable, parfois je termine en après midi, d'autre fois en soirée ou encore d'autre jour je travail la nuit, dans le bar à cocktail. Cela uniquement le week end. Je reprend la route pour rentré chez moi, j'arrive en face de l'immeuble, monte les étages et me voilà enfin arrivée chez moi. Il n'y a pas d'ascenseur , je ne suis heureusement pas tout au dessus de l'immeuble mais quatre étage à monter par jour sa fait mon sport de la journée. Je pense à déménager, du moins nous en avons parler moi et Maxime. D'une chose, le manque d'ascenseur est assez embêtant,  en particulier quand je dois monter mes achats de courses du mois. Tout cela en fesant une dizaine d'aller retour entre ma voiture et mon appart. Et d'une autre chose parce que Maxime voudrai avoir son toutou. Le hasard faire que une des chiennes de ses fameux frères comme il les appelle à eu des chiots, des malinois. Je ne suis pas vraiment contraire, j'adore les animaux donc je ne vois pas pourquoi je n'accepterai guère. Cela dis, il faut déménager. J'y ai déjà jeter un oeil sur les site d'immobilier à louer, j'ai eu un petit faible pour un beau duplex avec jardin. Je n'ai pas encore eu l'occasion de montrer l'annonce à Maxime ni d'y prendre rendez vous, je compte le faire tout à l'heure.

J'ouvre la porte, j'entends déjà Zoé s'agiter derrière. Elle me saute dessus, heureuse de me voir.
- Bonjour ma chérie.
Je la câline, tout aussi contente de retrouver ma fifilles. Maxime n'est pas encore rentré, je lui envoie un texto lui demandant ce qu'il fait. Il me répond quelque minute plu tard " je vais arriver, je suis chez David " . En écriture assez incompréhensible que je peine à décodé. Il a dû en boire quelque, des chopines ! Je lui répond que je part au parc promener Zoé , qu'il ne s'inquiète pas si je ne suis absente quand il rentre.

J'enfile la laisse à Zoé,  descend les escalier, la fourre dans la voiture et direction le parc.