L' enfer psychologique

La révélation

Six mois. Durant cette période, entre l'appart, le déménagement et le travail, rien n'avais vraiment changer. Ni avec Maxime, ni avec les amis. Nous décidons de nous rapprocher à nouveau, Max habite maintenant à la maison. Malgré le fait qu'il ne travail pas, nous sommes bien , ne manquons de rien. Le faite de s'être mis en ménage pourrai également me permettre d'être un peu plus derrière lui afin de le pousser à trouver un emploi. Le pire, c'est que c'est quelqu'un d'assez intelligent, et est diplômé en informatique. Il n'est pas fénéant, se lève tôt tout les matin même si il ne travail pas. En faite, il attend que le travail lui tombe du ciel. Mais sa ne va évidement pas comme sa, de nos jours. Il se lève tôt, souvent très tôt, car cest quelqu'un de très nerveux, Maxime. En voyant un à un autant de défauts, en supportant une à une autant de chose, pourquoi est ce je ne le quitte pas? A vrai dire, je ne sais pas ... Peu être parce que je me dis qu'il changera. Je suis moi même quelqu'un de nerveuse, je ne suis pas du genre à me laisser marcher sur les pieds. Soite.
Sarko et Zoé s'entende bien , il joue ensemble, font des bêtises. De grosse bêtise d'ailleurs ... Sarko ne peu s'empêcher de tout déchiqueté. Malgré qu'il sois jeune, cela ne plaît guère à Maxime qui, peu à peu , va prendre une ampleur de violence envers ce chien. " C'est un gros chien -me disais t'il, ce genre de race si tu le laisse faire, c'est fini. Il faut lui montrer c'est qui le maître " Lui montrer c'est qui le maître? En le frappant? Quel connard ! Je le défend bien entendu. Il est jeune ce chien, il faut le dresser, l'occuper simplement.

Bonne nouvelles, Maxime à enfin trouver du travail ! Comme il n'as pas de voiture , ni de permis d'ailleurs, je le dépose chaque matin avant d'aller moi même travailler sur son lieu de travail et va le rechercher à la fin de sa journée, si j'ai fini la mienne en même temps. Si pas, il se débrouille. Ces va et viens dure quelque semaine, sa me fatigue de gérer chaque allée de travail avec mon horaire et le sien. Je dois me lever quand lui travail plu tôt et moi plu tard, je n'ai plu de répis de plus que j'ai décidé de reprendre le tennis, ce qui m'éreinte de plus en plus. Je lui fait part de ma fatigue, il faut qu'il passe son permis, qu'il me soulage un peu. Oui oui me dis t'il à chaque fois que l'on en parle. Mais sa traîne trop à mon goût, je n'en peu plus. Sachant que mon papa possède un scooter, je le lui demande à prêté, explique la situation. Il accepte gentiment, me fesant promettre d'en prendre soin.

Nous passons des bon moment, malgré sa nervosité qui n'est pas toujours supportable. Fesont des barbecue en compagnie de ses copain et de , bien entendu, la bière, leur meilleure amie. En faite, il est alcoolique. Il n'y a pas un jour où la bière ne fait pas partie de sa vie. Le voir tout le temp, du moins très souvent plein mort m'insupporte, je n'en peu plu. Un jour après une journée chez ses amis, nous sommes sur la route pour rentrer. Je lui fait part de mes pensées , je lui dis que ce serai mieux qu'on en reste la, lui et moi. Et la, sa réaction ne fût des moindre violente, violente envers lui même. Il pris les pochettes de CD en plastique dur posé dans le bac de rangement de sa portière et se les frappa sur le front, aussi haineux soit il de ma demande de rompre. Il se les frappa encore et encore, cassant ainsi les pochettes, son front en sang. Il pris ensuite un morceaux de pochette cassée et commença à se mutiler, pas assez profond pour se couper les veines mais assez fort pour avoir les poignet en sang. Je lui hurle d'arrêté, il hurle à son tour " je veux crever j'en ai rien à foutre " . Entre temps, je m'était arrêtée sur le bas côtés, l'empêchant d'empirer la situation. Il sorti de la voiture en me jurant de sauter d'un pont. Il était comme sa, en sang, tel un fou sorti d'un asile dans les rues de Paris. Je suis dans un état stressée, angoissée, choquée. Je l'appel sur son portable tout en le cherchant dans les rues de Paris. Pourquoi je ne le laisse pas à son sort? Je ne sais pas, peu être parce que je veux malgré tout l'aider. Je fini par savoir le joindre une demi heure plu tard, il me dis qu'il est à la gare, qu'il va se jeter sous un train. Je le calme et le prie de revenir. Je l'attend à un endroit dit au téléphone , le voilà plu tard qu'il arrive. Nous rentrons et nous calmons chacun de notre côtés.