La rencontre

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Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase quand une lumière m'aveugle. Un liquide coule sur mon front. Peu à peu quand je m'habitue à la lumière, je contate qu'il pleut du sang. Mes alliées ont disparues. Soudain, je reçois un coup de pied dans les côtes. Ça me fait atrocement mal. Je tombe par terre et distingue les cheveux blonds de Brace et ceux de Zara. Je recule de peur qu'elles me tuent. Je ne savais pas que ça allait être si difficile. Je cogne l'arbre qui est derrière moi. Je ne peux, désormais, plus reculer.

Brace: Tu trembles comme une feuille, ma belle.

Moi: Oui. Et? Qu'est-ce que ça peut vous faire?

Zara: Tuons-la. On n'a pas 2 mois pour la tuer.

Brace(en criant): Je voudrais dire à toute les citoyens d'Atlanta que votre candidate vaut rien. Elle n'est qu'une bonne-à-rien qui se vante de ses forces.

Zara: Elle n' en a même pas.

Dans les trentes minues suivantes, je serais morte, retournée dans ma ville et enterrée. Tous mes espoirs de survie s'envoleront comme de la fumée.

Zara: Brace, on devrait la défigurer avant.

Brace: Tu as raison. Elle perdrait toute sa beauté.

Moi: On verra.

Zara leva son épée, prête à me trancher la gorge. Je serais libre. Je pourrais découvrir le secret de la mort que je garderais et je ne pourtais pas le partager. Pourtant, quelque chose me dit que je ne mourrais pas si vite. Zara approcha son épée de mon cou avec rapidité. Je ferma les yeux. Cependant, rien ne se produit. C'est étrange. Quand j'ouvris les yeux, je découvre une belle fille aux yeux bleus. Avec la lumière de la lune, je découvre que ses cheveux bouclés sont roux.

La rousse: Allo!

Moi:...

La rousse: N'ait pas peur. Je ne te ferais rien.

Je la crois. Elle a tué Zara, mais je pense que Brace s'est enfuie. Pourquoi elle m'aide? On était pas supposée être toutes des ennemies? Je pense que dans mon cas, c'est le contraire.

Moi: Quel est ton nom?

La rousse: Philadelphia.

Moi: Ça me dit quelque chose.

Philadelphia: Viens. On va chercher un abris et ensuite, je te raconterais l'histoire de mon nom.

Moi: D'accord.

On a trouvé un gros arbre. On grimpe dessus et dressons le campement.

Moi: Philadelphia?

Elle: Oui?

Moi: Je dois me laver.

Elle: Ah oui. Il a plu du sang.

Je descendis de l'arbre. En peu de temps, je trouva un lac. Je lava mon corps et mes cheveux. Je me fis ensuie une tresse simple. Quand je retourna à l'arbre, Philadelphia a disparu. Elle est sûrement partie se laver car elle avait aussi du sang.

Le chemin de la mortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant