PLAISIR

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Tel un coucher de soleil dans un ciel rosé qui émerveille,
Cet ange passé pour laisser traîner le bonheur inespéré.
Deux âmes sœur s'émerveillent, s'ensorcellent et se libèrent de ce phénomène,
Dans les bras l'un de l'autre, ils gravissent les étapes des préliminaires.

En commençant par leurs bouches,
Elles se touchent, se caressent , se dessinent de leurs langues qui s'expriment.
Puis celles-ci prennent possession de l'entrouverture du couloir de la parole pour des mouvements de rotation délicats mais mouvementés à la fois.

Puis sa langue devient gourmande va découvrir son cou dénudé, jusqu'aux lobes de ses oreilles, qui lui donnent un frisson et fait basculer sa tête en arrière et réveille en elle les primaires des plaisirs sensuels.

Pour ne pas le laisser en reste, elle s'empare de ses mains et goute ses doigts un à un les laissant glisser dans sa bouche ce qui ne le laisse pas farouche; lui donnant une réaction primaire étant loin de l'éphémère.

Pendant ce temps il continue son chemin, redescend vers sa poitrine mais pour y arriver il doit la dénuder, donc de sa bouche il arrache les boutons disgracieux de son chemisier de soie qui fait découvrir sans pareil une poitrine de merveille.
Elle ne porte rien, ses seins se révèlent comme des fruits pas assez mûrs avec 2 auréoles célestes dont les bouts durcis préviennent du phénomène que sa moitié lui fait.
Enfin il continue sa conquête avec sa bouche indisciplinée qui ne demande qu'à les dévorer,
Absorbe l'un d'eux, l'embrasse, l'enlace et titille son têton qui vrille sous l'effet procuré elle sursaute de désir et met ses mains sur sa tête pour que l'alchimie soit identique sur le deuxième sein et qu'il n'en laisse rien.
De ses mains libérées il descend doucement pour suivre le sillon de son nombril et atteindre son jean.
Arrivé à destination tout en continuant de se délecter de ses beaux horizon d'un tactile magique, il déboutonne la frivole pour se glisser sans déraison vers sa toison parfaite qui l'emmène vers son amulette du plaisir.
Ses doigts glissent en souplesse et se dirigent vers l'arpège de volupté puis continuent leur chemin.
Le premier rentre dans sa taverne et la met en éveil, il gigote doucement pour faire de la place.
Puis le deuxième se laisse glisser, elle se sent désarçonnée, de ses yeux heureux elle lui ordonne de lui donner mieux.
Puis le troisième se faufile pour donner mouvement à cette file qui glisse en elle comme on défile.

Elle se sent harmonieuse, humide et s'enivre d'un plaisir rêvé qu'elle souhaiterait continuer.
Alors d'un mouvement rêveur et décidé, et sans aucune peur, sa bouche rejoint ses doigts pour offrir une autre convenue au désir de sa belle.
Il devient glouton telle une belle addiction, lui dévore sans effort sa petite amulette qui lui fait perdre la tête.
La chatouille de sa langue et glisse ses doigts en cadence après quelques secondes de surexcitation une myriade de plaisir nait de ce désir.

Elle se relâche puis se détache pour se faire complémentaire à sa moitié qui est restée solitaire de plaisir et en deux trois mouvements elle le met à nu et laisse couler sa tendre langue sur tout son corps dévêtu ; de sa bouche à son cou elle écrit un mot, de son cou à ses abdos elle dessine une histoire.

De ses abdos a son engin elle créé sa mémoire.
Elle le déguste goulument telle une glace a la passion,
Et celle-ci ne fond pas, elle est plus dure entre sa bouche, entre ses doigts après quelques va viens malin une petites coulures de plaisir s'étend sur ses lèvres.

A ce moment elle sait qu'il est prêt,
L'enchaînement ne se fait pas attendre et dans un mouvement tendre elle l'allonge sur le dos et le défie de ses yeux tout en se posant sur son pieu.
Il pousse un grognement de plaisir cela est plus que du désir,
Il l'attrape par les hanches et lui lance la cadence,
D'avant en arrière les frottements se font clairs,
L'échauffement se fait vivre, et le soulèvement se fait vivre, pour calmer ses ardeurs avant l'extase du bonheur.

Pour cela il la fait changer de position, la mettant en équilibre telle une danseuse réalisant un "Y"et une pirouette.
Jambe sur son épaule il s'impose,
La pénètre dans l'élan, l'active de ses mouvements tout en la caressant le déhanché est saccadé puis accéléré.
Les respirations de plaisir deviennent des petits cris, puis des râles de plaisir ; la jouissance est simultanée et leur émoi avér Leurs corps ne font qu'un, à présent, et à jamais.

QUAND LA POÉSIE SE FAIT COQUINEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant