L'anniversaire

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Je vole. Cette sensation est unique. Je sens le vent dans mes cheveux et j'ai du mal à respirer. Mais plus on descends plus sa va mieux. Je ne remercierai jamais assez mes amis pour m'avoir offert ce saut en parachute pour mes 18 ans. Je suis dans les nuage et nous continuons à descendre. Soudain le moniteur qui est avec moi déplie le parachute et on descend moins vite. Je commence à voir les maisons qui sont minuscules à mes yeux. Plus nous descendons plus elles grossisses. J'ai toujours adoré cette sensation où on a l'impression de volé et d'être libre. Mon moniteur me fait sursauter quand il me dit de plier les jambes car nous allons atterrir. J'étais tellement absorber dans mes pensées que je n'ai pas vu que les maisons paraissait beaucoup plus grosse. L'atterrissage me fais mal au genoux mais rien de grave. De toute manière on m'a prévenu. Je me détache et vais rejoindre mes amis dans le hangar. Ils m'attendent depuis déjà 2 heures. Le temps à dut leur paraître long mais je ne dis rien.
Marie s'avance vers moi avec impatience et me crie:
- Alors Adé c'était comment ?
Mon prénom est Adélia mais mes amis m'appelle Adé.
Je lui réponds tout en m'avançant vers le reste du groupe:
- C'était génial j'avais l'impression de volé.
Tout le monde s'extasie en voyant ma mine réjouis.
- Nous aussi c'était génial, j'ai eu l'impression d'être rester assis depuis des mois, nous lance Émerique.
Tous le monde éclate de rire.
Émerique est le comique de la bande. Dans notre bande on est cinq :
Marie ma meilleure amie, Émerique le comique, Valentin qui est musclé et attire toute les fille, Mélissa qui est très studieuse et très intelligente, et moi. À nous cinq nous faisons la paire. Nous sommes très soudé depuis le collège.
- Ferme les yeux, me dit Mélissa. Nous allons te mètre un bandeau.
- Ce n'est pas finis ? je m'exclame.
- Et non ce n'ai que le début, me répond t-elle.
- Ho vous êtes adorable !! dis-je
Je ferme les yeux. Mélissa me mets le bandeau. Ils me guides et me préviennent dès qu'il y a une marche ou un obstacle de se genre que je ne puisse pas voir et qui peut me faire tomber. Comme j'habite dans une vallée nous avons pas besoin de prendre une voiture pour nous rendre quelque part. Nous avons tous sur place. Une des rare ville d'ailleurs. Nous marchons pendant une vingtaines de minutes jusqu'à ce que quelqu'un m'enlève mon bandeau. Je découvre que nous nous trouvons devant la piscine municipale extérieur. En effet aujourd'hui il fait chaud car nous sommes le 10 août. Je les regardes et d'un seule coup je panique et leur dit:
- Mais j'ai pas mon maillot de bain !
- T'inquiète Marie à pensée à tout, me répondit calmement Valentin.
J'ai vraiment des amis en or. Marie sort de son sac mon maillot de bain préféré. Je leur fait un gros câlin à tous puis nous rentrons dans la piscine. Ils ont déjà réserver nos place ce qui nous évite de faire la queue. Nous nous séparons les filles c'est ta dire Mélissa, Marie et moi d'un côté et les garçons Valentin et Émerique de l'autre. Jote mes chaussures, les mets dans un casier et rentre dans une cabine. Je me déshabille enfile mon maillot de bain prends la serviette que Marie ma prêté et ressort de la cabine. Je range le tout dans mon casier et m'aprête à le refermer quand je pense soudain que j'ai oublié mes lunettes de piscine. Tous le monde se moque de moi avec mes lunettes bleus mais je m'en fiche. Je n'aime pas ouvrir mes yeux sous l'eau sans lunettes. Je les prends donc referme mon casier, j'attends quelque minutes que mes amies est finis. Nous prenons une douche puis nous allons rejoindre les garçons qui comme à leur habitude nous charrie pour avoir mis beaucoup de temps. Nous allons d'abord dans le petit bassin puis dans le grand. Nous faisons tous les toboggans. D'un seul coup Émerique me tire avec lui pendant que les autres s'amusent dans l'eau. Il me dirige vers le grand plongeoir qui fait 10m de haut. Je résiste mais il me dit que sa va être marrant. Marrant peut - être pour lui qui n'a peur de rien mais pas pour moi. J'aime beaucoup les sauts et tous ce qui à attrait avec l'air ( je ne sais pas pourquoi d'hailleur ) mais je n'aime pas sauter et atterrir dans l'eau. Je ne résiste pas vu tous ce qu'ils ont fait pour moi mais j'ai une grosse boule qui se forme dans ma George. Je le suis tout en haut. Heureusement que je n'ai pas peur du vide car sa fait très haut. Valentin n'hésite pas une seconde et s'élance le premier. Je le vois atterrir en bas sans encombre. Tous le monde crient mon nom pour m'encourager. Je regarde l'heure. Il est 14 heures. L'heure à laquelle je vais mourir. Soudain une de mes mèches de chevaux blond devient violette. Je n'en croit pas mes yeux. Je crois halluciner et décide donc de me lancer avant de devenir complètement foĺle. Mais rien de tous ce que j'avais prévu ne se passe. Je melance mais tendis que je commence à tomber je m'arrête net et subis une transformation. Mon maillot de bain se transforme en un magnique short bleu et violet tout comme mon haut qui s'arrête au nombril. Mes pieds sont recouvert de bottes violette et le plus allucinnant c'est que des ailes violette avec un peu de bleu me pousses dans le dos. Puis ma chute reprend de plus belle. Mais pas longtemps car une espèce de soucoupe volente qui traverse les murs arrive et une personne me rattrape je ne sais trop comment. Elle m'emmène à l'intérieur où la tout le monde à des ailes et se déplace en volent. C'en ai trop pour moi. Je perds connaissance.

Un amour impensableOù les histoires vivent. Découvrez maintenant